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PANSY • rolling in the deep.
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Jeu 20 Oct - 19:45
.
IDENTITY CARD

PANSY
PARKINSON
PANSY • rolling in the deep. 110825014538583348
© sunlight
• SURNOM(S) : oh, honnêtement, le prénom Pansy ne se prête pas réellement à l'emploi d'un quelconque surnom. Inutile de le raccourcir plus qu'il ne l'est déjà et... d'autre part, celle qui le porte n'inspire pas forcément l'envie d'user de telles familiarités. Pour ce qui est des quolibets, par contre, c'est une tout autre histoire. Elle doit plus particulièrement aux Gryffondors le fameux « Pékinois » qui la suit depuis des années, question d'attitude autant que de physique. On l'a aussi qualifiée plus d'une fois de « drama queen » pour son goût du mélodrame, de « poupée/golem de glace » pour le masque figé et sans expression qu'il lui arrive de présenter lorsqu'elle est de mauvaise humeur, de Doxy malfaisante pour son caractère de peste, ses mimiques dédaigneuses, ses propos venimeux, son attrait pour la médisance et les potins déplaisants... Autant de charmantes attentions qui se payent, pour sûr.
• DATE DE NAISSANCE : le 17 janvier 1980. On peut aussi considérer comme une sorte de renaissance le fameux 8 août ayant marqué sa première rencontre avec Drago, non? — si un jour est marquant/béni/riche en intérêt (aucune proposition à rayer : elles sont toutes valables), c'est certainement celui-ci.
• ÂGE : 18 ans
• ANNÉE D’ÉTUDE : 7ème
• POUDLARD : Ce que représente Poudlard à ses yeux? Il y a quelques temps, Pansy aurait sans doute répondu avec le plus profond dédain que cette école attribuant plus de valeur que nécessaire aux nés-moldus est loin de pouvoir être considérée comme sa "deuxième demeure". Mais depuis le retour du Lord, inutile de préciser les tentions régnant au sein de... certaines familles. Résultat, le huis clos qui l'oblige à demeurer au sein du château est loin de lui déplaire. Bien au contraire : il présente peut-être de nombreux désavantages, mais l'héritière Parkinson se sent enfin un tant soit peu libérée de ses "responsabilités" et des attentes de son père, aussi temporaire que puisse être cette situation. Alors Poudlard, à ses yeux, représente avant tout un échappatoire.
• BAGUETTE : Taillée dans du bois d'ébène, aisément reconnaissable à sa teinte sombre, la baguette de Pansy contient une plume de focifère et mesure 25,5 cm. Elle est flexible, pratique pour la métamorphose.
• PATRONUS : Si Pansy déplore quelque chose, c'est bien de n'avoir jamais réussi à maîtriser le sortilège permettant de créer un patronus. Certes, "déplorer" est un grand mot sachant qu'elle n'en a jamais vraiment eu besoin jusqu'à maintenant et que, avouons-le, elle ne s'est pas esquintée à force d'efforts pour en produire un... mais savoir que plusieurs élèves de son âge en sont capables alors qu'elle non est tout de même un brin frustrant.
• ÉPOUVANTARD : Difficile à dire. À une époque, lorsqu'elle n'avait que peu de préoccupations hormis Drago, ses études, Drago, sa famille et Drago, sa plus grande crainte était tantôt de voir s'effondrer les richesses et la renommée des Parkinson, tantôt de décevoir les siens. D'échouer lamentablement ses examens, de voir Drago se joindre à ceux qui la dénigraient pour son physique ou d'être ridiculisée devant lui (ce qui lui est arrivé plus d'une fois, à vrai dire)... rien de très stable ou de si terrible. Mais après la mort de sa mère, ses plus sombres pensées ont longtemps tourné autour de l'image du corps sans vie de cette dernière, que son esprit torturé s'amusait à redessiner des pires des façons. Actuellement, peut-être un épouvantard prendrait-il la forme de la Marque des Ténèbres devant elle. Parce qu'elle est le symbole même de même de l'avenir qui l'attend; avenir qui ne promet pas d'être des plus agréables. Comment en être sûre, de toute façon? Ce n'est pas comme si elle croisait ce genre de bestioles à chaque coin de couloir.


SHOW ME, SHOW ME BABY
    • NATIONALITÉ(S) & ORIGINE(S) : Pansy fait partie de l'une de ces vieilles familles, anglaises pure souche, à cheval sur les traditions et peu adepte du métissage. Alors non, ses origines ne sont pas diversifiées et non, elle n'a pas de double-nationalité anglo-svalbarde, Mexicaine ou Merlin saurait quoi d'autre. Rien d'« exotique » dans sa lignée : les Parkinson sont tout ce qu'il y a de plus orthodoxe.
    • VOTRE SANG : Pur, bien sûr, et ce aussi loin que remonte l'arbre généalogique de la famille! Vous vous êtes crus où?
    • PHYSIQUE : Voilà une question bien placée pour chatouiller désagréablement l’orgueil de mademoiselle. On naît chanceux ou non – ça, c’est le rang de la famille qui le détermine. Mais richesse ne signifie pas forcément beauté, et Pansy en a fait les frais. De ses yeux un poil globuleux à ses traits durcis par un trop grand sérieux comparé à son âge, elle avait tout pour s'attirer les moqueries; et ce sans parler de la coupe au carré qui la vieillissait alors, de la raie droite qui séparait en deux sa chevelure épaisse, donnant un effet des plus douteux, ou des robes pleines d’horripilants froufrous et bordés de dentelle dont l’affublait sa mère! S’il fallait mettre des mots sur l’un des cauchemars de Pansy, « albums photos » feraient très bien l’affaire. Mais les années lui ont été favorables, bien qu'elle demeure loin de ce que l'on pourrait qualifier de beauté traditionnelle. Ce qu'elle a pour elle? Un charme presque félin dont elle n'hésite pas à jouer, un regard vert noisette que sait se faire froid ou ― au contraire ― particulièrement expressif, le tout couronné d'une assurance apparemment à toute épreuve. L'apparence se fane, mais la grâce marque et le charisme plus encore. Son sourire est à la fois charmant et désagréable, sans doute parce que bien qu'adoucissant ses traits, il n'apparaît pratiquement que pour de mauvaises raisons. Toujours vêtue avec goût, elle ne se laisse jamais surprendre autrement que parfaitement apprêtée et est loin de se sentir coupable d'user d'artifices : à ses yeux, le maquillage est autant un plaisir personnel que l'une des armes mises à la disposition des femmes ― pourquoi se gênerait-elle, alors, pour en user?
    • CARACTÈRE : Pansy, c'est dix-huit années de conditionnement et de faux-semblant. Alors forcément, c'est une hypocrite et une menteuse née. Quelles que soient ses véritables pensées, elle les met presque systématiquement en sourdine pour réagir d'une façon appropriée à son rang et à ce qui est attendu d'elle. Ce comportement est même plus « naturel » pour elle que le fait d'écouter ses sentiments. Se laisser aller, agir sur le coup d'une impulsion : voilà qui lui est inconnu. À croire qu'elle reste bloquée lorsqu'on lui demande d'être elle-même. Au fond, il n'y a plus de « elle-même ». Elle est ce qu'on a fait d'elle, une poupée façonnée selon le bon vouloir de sa famille, et ses choix sont les leurs... quitte à ce qu'elle étouffe intérieurement sous cette pression constante, imposée par autrui autant que par elle-même. Si elle est son propre bourreau, il va sans dire que les autres ne sont pas non plus épargnés par le mal être qui lui pèse. On la dit fourbe, Vile... à raison. Lorsqu'elle agit, c'est de façon calculée et mesurée. La traitrise est son arme favorite et elle aime à agir dans l'ombre. Elle n'hésite pas à s'accorder le temps nécessaire à la mise en place d'une vengeance et peut s'avérer aussi patiente que revancharde. Opportuniste, elle ne manque jamais une occasion d'agir pour son profit personnel. Et avec elle tout à un prix : elle ne fait rien si aucun gain n'est promis à la clé. Cette philosophie s'applique d'ailleurs dans tous les domaines, y compris celui des relations humaines : elle refuse de se dévoiler si chaque information n'est rémunérée sous la forme d'une autre de valeur égale. Et c'est elle qui fixe les équivalences. Peut-être n'est-ce là qu'une façon pour elle de se protéger, un moyen tordu de décourager autrui de fouiller trop loin sous les apparences. Curieuse, elle est avide de savoir... un trait de caractère qui ne s'avère positif qu'en ce qui concerne ses études, puisqu'elle ne se lasse pas d'approfondir les notions qui l'intéressent. En dehors de cela on pourrait plutôt la qualifier de fouineuse. Elle est moins adepte de vérités que de potins... la différence entre les deux? C'est simple! Les uns sont souvent mortellement ennuyeux et favorisent des relations saines, les autres sont au contraire faits pour être passionnants et faire mouche... à tous les coups. Qu'ils soient déformés et exagèrent la réalité importe peu. Et s'ils blessent, c'est encore un bonus non négligeable. Pansy n'a aucun respect de la notion d'intimité et ne se gène pas pour farfouiller dans les moindres sphères de la vie d'autrui si elle a la moindre raison de le faire. Ainsi, elle est une source d'informations intéressante pour qui sait s'y prendre avec elle. Cynique, elle peut faire preuve d'un humour noir et pince-sans-rire, se montrer mordante dans sa façon de déprécier les notions de bonté, les conventions factices et les beaux idéaux des gens "biens". Sans être foncièrement pessimiste, puisqu'elle considère que la réussite est due aux gens « comme elle », elle est trop ancrée dans la réalité pour se permettre d'être rêveuse et le positivisme la laisse froide.

    Pansy a ses croyances. Le Destin, par exemple. Pour elle, il est tracé dès la naissance et lutter pour s'en défaire est une course vaine. Évidemment, reste encore à déterminer quel est ce fameux « chemin » pour le suivre au mieux. C'est une jeune femme déterminée, bornée même. Dotée d'un égo plus imposant qu’elle-même et d'un esprit de contradiction assez impressionnant ― duo de choc qui l’a parfois mise dans des situations délicates ―, elle est très exigeante envers elle-même et rechigne donc à appeler à l'aide, préférant s'enfarger dans ses idées et les mener jusqu'au bout. Quant à l'échec, elle a une façon bien à elle de le gérer : le déni. Qu'importe que les faits soient contre elle! Elle s'en tiendra à « sa version » jusqu'au bout, foncera droit dans le mur s'il le faut. Il faut dire que son caractère indépendant a été acquis par la force des choses. À la base, Pansy doute beaucoup d'elle-même, mais elle a dû apprendre à passer par dessus pour paraître forte.. à défaut de l'être. Comment aurait-elle pu faire autrement alors qu'elle a évolué dans une univers où l'homme est plus considéré que la femme? Alors qu'elle se devait de satisfaire son père comme l'aurait fait un vrai héritier tout en apprenant à manier les subtilités de la société mondaine? Elle est devenue travailleuse à cause de son besoin constant de se dépasser pour prouver sa valeur et de faire la fierté des siens.

    Comme tout sang-pur qui se respecte, sa relation avec les moldus est à la fois inexistante et teintée de méfiance, de mépris. Elle ne se contente pas de les haïr parce qu'on lui demande de le faire : d'une part, ce qu'elle sait d'eux ne tend pas à attiser sa confiance; il n'y a qu'à mentionner les tristement célèbres Chasses aux Sorcières pour comprendre que les deux mondes ne sont pas faits pour être associés. Elle ne doute pas que certains puissent être fascinés par la magie – à juste titre; seulement, si les sorciers se révèlent au grand jour, Pansy ne doute pas qu'il n'y aura que trop de « sans pouvoirs » pour se défier d'eux et chercher à leur nuire. Hors... que craint-on? Ce qui nous est supérieur. Là est le deuxième point. Elle considère les moldus comme une version moins évoluée du sorcier. Et qui dit évolution dit... disparition de la race inférieure, n'est-ce pas? Ce qui implique naturellement une élévation de celle qui lui est supérieure. Exterminer les moldus et leur engeance serait donc un sympathique coup de pouce accordé à Mère Nature. Tels sont les réflexions qui la poussent à soutenir les idéaux défendus par les Parkinson depuis des générations. S'y ajoutent évidemment la dévotion due à sa famille et la crainte des représailles qu'elle encourrait en cas de rébellion.

    Mais entre mépris et haine, hypothèses ou idées et profond désir d'extermination... il y a une marge. Une sacrée marge que Pansy peine encore à franchir. Elle est sensible, suffisamment, entre autres, pour ne pas souhaiter torturer, faire durer un supplice, puis ôter la vie. C'est la raison pour laquelle elle appréhende de quitter Poudlard et de faire face à la réalité. À son devoir. Elle n'est pas certaine d'être à la hauteur. Qui dit emploi de la Magie Noire à outrance dit dégâts métaphysiques, changement radical du mode de pensée... perte de l'humanité. La seule idée de se transformer un jour en être uniquement motivée par la soif de provoquer la souffrance d'autrui lui fait froid dans le dos.

    On ne pourrait la dire séductrice... elle est plutôt charmeuse, jouant sans vergogne de ses attraits avant de distribuer des non à tour de bras. D'une part parce qu'elle se respecte trop pour tomber dans les bras du premier venu, d'autre part parce qu'elle a trop souvent supporté les railleries pour ne pas se "venger" à présent que son physique semble entrer dans les normes de l'"appréciable".
    • PARTICULARITÉ(S) : ♣ Elle a terriblement peur de l'orage. Une quasi-phobie qui remonte à son enfance et n'a fait que s'amplifier depuis la mort de sa mère. ♣ Si elle se montre souvent froide, Pansy est paradoxalement fascinée par les flammes et la chaleur qu’elles dégagent – celle qu’on ne retrouve pas au sein de tous les foyers. ♣ Elle a les yeux sensibles, si bien que le froid ou le trop plein de lumière lui tirent des larmes; quelque chose qu'elle déteste mais ne peut pas pour autant contrôler. ♣ Plus "sucré" que "salé", elle adopterait un régime alimentaire franchement déséquilibré si elle n'était pas tant obnubilée par l'apparence physique. Desserts, fruits rouges, confiseries, tout y passerait si elle s'écoutait... Il n'empêche qu'elle n'a jamais su résister à la tentation que représente un pot de miel, qu'elle déguste avec deux doigts - jamais à la cuillère. ♣ Elle n'a pas le vertige, mais n'est pas spécialement à l'aise en hauteur. ♣ Elle n'aime le quidditch que parce que Drago en fait, chose qu'elle ne lui avouera sans doute jamais. ♣ On dit que les Potions sont la matière de prédilection des Serpentards.. eh bien oublié cette idée! C'est plutôt le cauchemar de Pansy, et elle est forcée d'étudier comme une forcenée pour s'y prendre à peu près bien. Raison pour laquelle elle ne choisit jamais ses partenaires à la légère.
    • PASSION(S) & LOISIR(S) : lorsqu'elle s'ennuie, Pansy gribouille. Lorsqu'elle réfléchit, elle gribouille. Lorsqu'elle est d'humeur maussade, d'humeur joyeuse; lorsqu'elle... en tout temps, ou presque, elle se plait à griffoner des dessins aux coins de ses feuilles de cours. Plus douée pour la caricature que pour le figuratif, elle fait d'ailleurs largement transparaître ses inimitiés dans ses dessins. Aussi prend-elle comme principal thème les élèves qui l'insupportent.. c'est bien plus drôle. Elle n'est pas une lectrice assidue, mais il suffit qu'un sujet l'intéresse pour qu'elle dévore livre sur livre sans voir passer le temps. De manière générale, elle est également une grande adepte des potins et ne se lasse d'ailleurs pas de les colporter. En dehors de ça... eh bien, Pansy change de passions comme de chaudron; il serait donc difficile d'en énumérer d'autres.



NOW TELL ME YOUR STORY
    • SITUATION FAMILIALE :
    • MÈRE ― de son vivant, elle était le repère de Pansy au sein de la famille... son point d'ancrage. Toujours le mot pour l'encourager à persévérer, à ne pas se laisser écraser par les remarques d'autrui ou l'insatisfaction de son père; toujours le mot pour la rassurer et calmer ses doutes. Elle était aussi celle qui se déplaçait les nuits d'orages pour la réconforter, celle qui lui souriait discrètement lors des soirées mondaines pour lui assurer qu'elle était irréprochable. Pansy était très proche d'elle, bien que le milieu dans lequel elles évoluaient pas n'encourageaient pas des liens si forts entre mère et fille. Mère peut-être, mais amie à ses heures... Pansy se souvient avec nostalgie des longues heures qu'elles passaient à renflouer leurs armoires, à discourir à propos d'untel, de tout et de rien comme deux adolescentes du même âge. Elle est morte lorsque Pansy avait quatorze ans et à laissé derrière un vide que rien ne peut combler.

    • PÈRE ― au quotidien, il est un compagnon aussi consistant qu'un fantôme. Aristocrate et distant, éternel insatisfait, il s'est toujours montré distant et ne s'avère attentif que lorsqu'il s'agit d'épier les faits et gestes de sa fille. Cette dernière semble être un investissement à ses yeux, plus que sa chair et son sang. Exigeant, il prône sans vergogne la supériorité des moldus sur les sorciers, tout comme les principes ayant trait à la hiérarchie des sangs. Serviteur du Lord depuis la première ascension de celui-ci, il n'a pas hésité un instant avant de prendre son parti une seconde fois et s'attend à voir sa fille adopter sans répliquer les idéaux qu'il lui inculque depuis toujours. En fait, Pansy n'a aucune idée de combien il tient à elle. Plus qu'il ne le montre? Ou moins encore? C'est sans doute ce qu'il y a pour elle de plus effrayant dans leur relation : elle ne le connaît pas. Comment savoir de quelle façon il réagirait si elle en venait, d'une manière ou d'une autre, à déroger aux projets qu'il a établit pour elle? Simple déception? Indifférence? Violence? La réponse, elle est loin de l'avoir. Fait étrange : s'il a toujours exigé d'elle qu'elle réponde à la moindre de ses attentes... il ne lui a jamais reprocher de ne pas être un homme.

    • VOTRE HISTOIRE :
    1980. Le son de la grande horloge venait de retentir à trois reprises et, à cette heure tardive, ou trop matinale, l’Angleterre était encore entièrement plongée dans les affres d’un sommeil profond. Une nuit sans lune la recouvrait de son manteau sombre, étouffant le moindre rayon de lumière, et le silence s’était fait maître du pays pour quelques heures encore. Tous ne bénéficiaient pourtant pas de ce calme apaisant... Enfoncée dans les coussins moelleux d’un immense lit à baldaquin, la stoïque Elizabeth Parkinson étouffait à grand peine ses cris. Les eût elle laissés passés que l’on aurait cru, à juste titre, assister à de longues heures d’agonies. La douleur semblait vouloir la déchirer de toutes parts, l’écarteler jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Mais le tumulte de voix inconnues qui flottaient au-dessus de son visage rougi la retenait entre l’éveil et les limbes de l’inconscience. Et lorsque, les lèvres blessées d’avoir trop longtemps subit ses mordillements vengeurs, les joues moites de n’avoir pas pu laisser échapper ses larmes, elle leva ses yeux troublés sur la forme que lui présentait solennellement le médicomage, elle laissa échapper un seul et unique sanglot étranglé. Rageur. Ce ravissant bout de chou, comme l’appelaient déjà les infirmières à son chevet, avait la chevelure brune de son père, le teint pâlot, et semblait affreusement fragile. Mais ils étaient si disgracieux, ce visage poupons tordu par le mécontentement, ces deux minuscules poings battant l’air à intervalles irréguliers ! Elle entrevit en deux secondes de futures années d’innombrables caprices et se laissa lourdement retomber sur ses oreillers en se jurant de s’épargner ce genre d'instants à la venir. Cet enfant était le premier et resterait le dernier.

    De son côté, le père recevait stoïquement les félicitations du médicomage. L’enfant était une fille. À son réveil plusieurs heures plus tard, Elizabeth s’émerveillerait finalement face au teint laiteux de ce petit être fragile et l’avenir grandiose qui se profilait déjà à l'horizon. Elle se mettrait immédiatement à faire pour sa fille des projets en quantité, attendant avec impatience les années où elle l'exhiberait fièrement aux yeux du monde. Les yeux humides braqués sur elle, elle laisserait avec plaisir les cinq lettres qui composeraient son prénom lui rouler sur la langue, encore et encore. Pansy.


    1994. « Avez-vous déjà eu l'impression que le moindre tournant de votre existence se voyait influencé par chacune de vos rencontres? Pensez-y : une naissance, un cri, la caresse d'une main apaisante et vous ouvrez les yeux sur celle qui vous inculquera la majorité de vos principes, s'évertuera à penser vos blessures, déploiera des trésors des malice pour apaiser vos craintes. Douceur, amour, féminité, confiance, respect de soi; si vous êtes aussi chanceux que moi, le visage maternel a alors sans doute été le premier à s'être imposé à vous, le premier à avoir compté. Vous savez pouvoir tout lui conter, tout lui confier, et elle vous guide, compagne de vos jours heureux comme des instants les plus sombres. Lorsque vous l'admirez, c'est avec l'intime conviction que nul être au monde ne peut-être plus gracieux, plus délicat, ni posséder charme plus envoûtant. Certitude à la fois agréable ― parce que vous êtes proche d'un tel être ― et frustrante : la psyché, elle, ne vous laisse qu'un goût amer. Il vous semble presque n'avoir rien de cette femme. Ni son regard envoûtant, ni ses traits harmonieux, ni même sa chevelure soyeuse. Vous êtes sa chair et son sang et, pourtant, votre reflet dans le miroir ne dessine qu'une silhouette maigrichonne et dépourvue de formes et un visage ingrat. Mais elle semble toujours confiante lorsque vous vous laissez aller aux plaintes, affirmant sans se lasser que le temps vous sera bénéfique. Alors vous la croyez, parce que tout ce qu'elle dit ne peut qu'être la plus pure vérité; vous vous contentez de contenir votre frustration en attendant le jour béni où le sort voudra bien se pencher sur vous et prendre en compte vos doléances.

    Obéissance, tenue, prestance... crainte? Politique, affaires. La figure paternelle vous laisse une toute autre impression que la première citée. Une certaine... appréhension. Un amalgame de sentiments difficile à décrire, puisque vous peinez vous-mêmes à y mettre un nom. Il n'est pas réellement 'beau', cet homme qui semble vous jauger à chaque fois que son regard vous croise. Mais il a pour lui un charisme qui force le silence, le respect. Étrangement, c'est son visage que vous voyez dans le votre : de cet air trop dur pour être celui d'une femme en devenir à ces iris mi-noisette mi-vert qui semblent aussi impressionnants portés par lui qu'ils s'avèrent insipides à travers l'écrin de vos cils sombre. Vous vous étonnez sans cesse de découvrir ces similitudes, subtiles ou flagrantes, car vous êtes tout sauf proche de lui. Il vous parle, certes; vous instruit, vous pousse à vous dépasser sans cesse. Il vous persuade de votre ineffable valeur, vous rabâche sans cesse combien vous êtes supérieurs à une caste que vous n’avez jamais eu le loisir de fréquenter directement, vous place sur un piédestal en vous certifiant que vous n’en tomberez jamais. Mais tout cela, il vous le dit tout en vous regardant sans pour autant vous voir. Pas de reproches, pas un mot plus haut que l’autre, jamais : juste ce timbre sec et cassant, presque froid, presque distant, et implacable toujours. Vous aime-t-il? Ou votre sort le laisse-t-il simplement indifférent? Vous vous tourmentez en questions inutiles tout en sachant que vous n’obtiendrez jamais de réelle réponse, mais c’est plus fort que vous : il vous faut l’approbation de cet homme, et chacun de vos geste tend dès lors vers cette perfection qui semble être la seule capable d’attiser sa fierté. Mais nul n’est parfait, et vous… moins encore que les autres. À chaque tentative succède un nouvel échec, à chaque regard intéressé un haussement d’épaule dépité. Vous n’avez même pas conscience de la pression intense que vous maintenez de propre chef sur votre quotidien, parce que votre but est tout ce qui vous importe. Vous n’en avez pas conscience… tant que rien ne vient vous en délivrer de force.

    Vient alors le face à face avec le monde. Hors du cercle familial, vous êtes exhibé comme un trophée que l’on tourne et retourne, que l’on toise, que l’on pèse et estime. On vous présente à cette société qui est la votre, vous offrant dès lors l’insigne honneur de mettre en pratique les premières leçons qui vous ont été inculquées. L’ordre précis des salutations, de la maîtresse de maison à l’invité le moins illustre, en passant par les autres dames et le maître de maison. Les inclinations, les sourire, les hommages formulés avec retenue. La bienséance, la dignité, les présentations en bonne due forme… les règles se mêlent dans votre esprit et vous embrouillent mais, bonne élève, vous vous gardez de le laisser percevoir, tout comme vous étouffez vos doutes avec le plus grand soin. Il vous faut être irréprochable, vous vous appliquez à respecter ce mantra fixé par le regard brun-vert.

    I would rather have one breath of his hair, one kiss of his mouth, one touch of his hand than an eternity without it.
    Et il suffit de cela : un moment propice pour que tout bascule. Alors même que vous étudiez avec un ennui poli les personnages enfarinés qui rythment votre quotidien, une seconde, un simple instant vient enrichir votre existence d’un élément de plus. Élément important, de surcroît, et qui persistera à le rester en dépit des années qui s’écoulent. Il apparaît soudainement, comme un coup au cœur. Peut-être trop blond, sans doute trop arrogant, terriblement indifférent à vos efforts surtout; il vous voit à peine mais vous ne voyez que lui, incapable de prendre conscience de la malédiction qui ressert tranquillement son étau sur votre jeune et naïve personne. Déjà, vous comptez les points communs et les énumérez mentalement, attendant le « bon moment » qui vous placera face à l’autre et vous donnera votre chance. Même âge. Même noblesse. Mêmes préjugés. Mêmes valeurs. C’est léger, mais dans votre monde c’est déjà beaucoup : ce sont les critères de sélections employés par les parents pour déterminer quelles fréquentations seront meilleures pour leur rejeton. Il arrive enfin, l’instant tant attendu… mais vos mots tombent à plat, incapable d’éveiller l’intérêt de votre interlocuteur. Son regard gris est bordé du même ennui que vous affichiez en contemplant les autres car à ses yeux, c’est exactement ce que vous êtes : l’un de ces personnages qui s’animent en vain en espérant l’atteindre. Petit prince de la soirée, il vous salue comme l’énième invitée que vous êtes avant de passer au suivant, puis à un autre encore, tel que son devoir d’hôte l’exige. Peut-être vous a-t-il déjà oubliée à l’instant même où il vous a tourné le dos. Mais de votre côté les choses sont loin d’être pareilles… Vous êtes jeunes et, pourtant, la certitude d’être marquée à vie s’ancre profondément en vous. Persévérance devient le maître mot de la relation qui vous unit à lui.

    Dès lors, le décor est placé et voué à tourner autour de ces trois figures de proue. Vous construisez vos certitudes en fonctions d’elles, concentrez tous vos efforts pour leur plaire ou ne pas les décevoir, dépensez temps et énergie à faire semblant d’être quelqu’un que vous n’êtes pas au point de vous perdre vous-même. Jusqu'à devenir cette personne maîtresse d'elle-même, sûre de ses choix et bien décidée à faire la fierté et l'honneur des siens en tout temps. Votre quotidien, diraient certains, est hors du commun puisque magique... mais ce n'est pas votre avis. Pour vous qui n'avez toujours connu que ça, l'émerveillement s'éteint au bout de quelques années et vous êtes déjà blasé, sans même vous en rendre compte, malgré les extraordinaires découvertes que vous réserve encore l'avenir. Une fois plongé dans ce flux, cependant, vous en devenez presque dépendant et ne pouvez plus vous passer d'en ressentir les effets. Au moindre sort lancé à proximité de vous, une énergie subtile parcourt vos veines et vous n'attendez plus qu'une chose : pouvoir apprendre à votre tour et, comme tout sorcier anglais qui se respecte, faire votre entrée à Poudlard. En attendant, vous êtes remis entre les mains de précepteurs... qui vous façonnent, à leur manière. Leurs enseignements vous apprennent à canaliser les pouvoirs qui s'éveillent en vous, à acquérir les rudiments d'une éducation scolaire sorcière. Payés pour être exigeants, ils vous font peu à peu découvrir le sens des mots "travail" et "efforts", faisant peu à peu mourir votre insouciance innocente. Votre rang n'autorise pas un comportement d'enfant attardé. Il faut grandir, et vite; prendre conscience de soi afin de savoir s'assumer pleinement une fois ôté du foyer familial et placé en internat. Vous apprenez simultanément à obéir à quelqu'un qui n'a ni le titre de mère ni celui de père, une tierce personne qui est pourtant de votre grade ― de par la pureté de son sang.

    Enfin, l'instant de grâce : une lettre à votre nom marquée du sceau de la prestigieuse école de sorcellerie; c'est l'effervescence. Votre père même parvient à esquisser un sourire qui atteint ses yeux. Il semble heureux, et c'est encadré de deux des piliers de votre existence que vous partez en conquérant sur le chemin de Traverse, recevez vos baguette et premier chaudron, puis partez à la découverte du château qui vous accueillera pour sept ans. Vous découvrez alors ces créatures étranges issues d'un autre monde, qui s'émerveillent encore de choses qu'un enfant de cinq ans voit au quotidien. À vos yeux ils sont... pathétiques. Comme si les leurs, les moldus étaient amputés de quelque chose de primordiale, et que cela faisait d'eux des moitiés d'hommes. Vous vous demandez comment il est possible de vivre ainsi ― sans savoir qu'il nous manque ce "quelque chose" ― mais vous ne pouvez pas les comprendre et vous vous savez déjà mieux qu'eux. Le mépris est dès lors ce qui vous vient naturellement, parce que la pitié n'est pas un sentiment que l'on vous a appris à éprouver.

    Serpentard. Vous le saviez, cette maison est la seule à même de vous accueillir, tout comme elle l'a fait pour les plus grands. Mais si une majorité des élèves que vous y rejoignez ont grandi selon un modèle d'éducation similaire à celui qui vous a forgé, la cohabitation n'est pas aisée pour autant. Dame Nature n'a pas fait son œuvre, ou si elle l'a fait, elle vous a probablement oubliée en cours de route; chose que les adolescents ne manquent pas de vous faire remarquer. Peut-être seriez-vous moins charrié pour votre apparence si votre attitude attirait la sympathie. Mais ce serait parjure, et vous vous y refusez, bien que la confiance en soi que l'on vous a inculquée ne cesse de vaciller à chaque nouvelle comparaison, chaque nouveau surnom, chaque critique. Alors... vous rendez la pareille. Non : vous faites payer au centuple.

    1993. « J’ai appris quelques sorts intéressants cet été. » Un sourire mutin vint appuyer cette remarque lancée d’un ton dangereusement anodin, et l’interlocuteur de Pansy lâcha un : « Menace? » clairement moqueur. L’adolescente éclata finalement du rire mauvais qui la démangeait depuis des heures, et se pencha pour ramasser un livre préalablement posé au pied du canapé. « Du tout », répliqua-t-elle finalement, mais son ton était trop enjoué pour éteindre tout soupçon. Un reniflement dédaigneux lui répondit et le jeune homme se redressa, prêt à s’éloigner, et tira comme à son habitude au passage sur l’une des mèches de ses cheveux. « C’est amusant de te voir essayer de jouer les dures ou les insensibles. Ça te rend encore plus affreuse que tu ne l’es déjà. Mais tu sais quel sort on réserve aux focifères trop jacasseurs? » Depuis quelques semaines, il trouvait de bon goût de la comparer à cet oiseau dont le chant était réputé pour être si atroce qu’il rendait fou ceux qui le subissaient trop longtemps. Tant et si bien que certains chasseurs préféraient les égorger une bonne fois : c’était aussi efficace qu’un sortilège de mutisme, mais les effets duraient sensiblement plus… longtemps. Radical. D’autre part, il y existait de nombreuses façons de réutiliser leur plumage coloré. La raison de ces « plaisanteries »? Un hurlement de Pansy suite à une plaisanterie Gryffondorienne… qui l’avait affublée d’un bec pendant deux jours. C’est dans ces cas-là que plus de solidarité aurait été souhaitable de la part de ses camarades. Elle se tut pourtant, ravalant ses répliques acides en se convaincant qu’il rirait mieux quelques minutes plus tard. Qu’il s’en donne à cœur joie! Pour le temps que ça durerait…

    Il la laissa dans la salle commune, rejoignant enfin son dortoir. Le silence régna plusieurs secondes tandis que Pansy faisait mine d’être plongée dans sa lecture, mais ses épaules étaient crispées par une attente malsaine. Attente qui fut récompensée par la réapparition du garçon au haut des escaliers. Il avait le teint blême, incrédule, et faisait léviter devant lui un coussin tendu d’une couverture étrange. « Qui..? » [i]est à l’origine de ça?[/color] Le reste de sa question s’étrangla dans sa gorge alors qu’il ravalait une floppée d’émotions mal venues, mais les regards que lui portèrent les étudiants restant dans la pièce étaient désintéressés. Celui de Pansy exceptée. Délaissant son ouvrage, elle se leva pour le rejoindre et fit mine d’observer avec intérêt ce qu’il avait transporté avec lui. « De la fourrure de fléreur? ― s’exclama-t-elle du même ton aigre qui lui avait valu le quolibet dont il l’avait affublée un peu plus tôt, faussement admirative. Voilà qui est atypique. Tu ne te refuses rien, Everstreet. Moi qui croyais que tu tenais par-dessus tout à cette bestiole… » « Comment sais-tu que.. » Il s’interrompit, mettant bout à bout les informations pour comprendre la situation, et Pansy regarda changer les expressions de son visage avec un plaisir mal venu. Il ne s’agissait pas de n’importe quel fléreur. À vrai dire, personne n’aurait volontairement fait un tel usage de cet animal; excellent compagnon, il faisait naître un trop grand attachement chez son propriétaire pour être rabaissé à… ça. Mais les fléreurs étaient interdits à Poudlard, et le dit Everstreet avait dû laisser le sien chez lui, comme chaque année, en retournant au château. Il n’en parlait que rarement à l’école, mais cette bestiole signifiait beaucoup à ses yeux : son grand-père le lui avait offert lorsqu’il n’avait que cinq ans et, isolé alors de tous les jeunes de son âge, il avait grandi avec son fléreur pour seul ami avant d’enfin pouvoir s’ouvrir au monde. Pansy ne pouvait pas le savoir.. elle ne pouvait pas connaître son existence, encore moins être responsable du sacrilège qui flottait devant son regard vide… n’est-ce pas. Mais l’ombre d’un plaisir sadique relevait légèrement le coin de ses lèvres lorsqu’elle susurra : « J’en connais un qui a fait l’expérience du ‘sort réservé aux focifères trop jacasseurs’. Dommage qu’il ne soit plus en état de m’expliquer l’effet que ça fait… »

    Délaissant le troisième année, elle retourna à sa précédente occupation, se faisant mentalement la remarque qu’elle devrait écrire à sa mère pour la remercier pour ce plan parfaitement exécuté.


    1997. Ces personnages qui représentent les principales clés de votre vie vous paraissent indétrônables, inébranlables... mais elles ne le sont pas pour autant. Ça, vous ne l'apprenez cependant que par la force des choses, dès l'instant fatidique où l'une d'elles... disparait. Et c'est l'hécatombe. Tout s'écroule, vos repères même s'effondrent pour vous laisser avec le goût amer de l'impuissance la plus parfaite. La plus... frustrante. À qui parler? À qui confier ce qui vous ronge? La réponse tient en un mot : personne. Plongé dans votre douleur, vous vous contentez de vous recroqueviller sur vous-mêmes ― au sens figuré ―, de vous fermer à ce monde incapable de vous comprendre. Faire le deuil d'un être aimé, d'une mère, est douloureux; les sons, les odeurs, les images : tout vous ramène à l'époque où la mort ne vous en éloignait pas encore. Vous subissez la vie plus que vous ne la vivez, tant elle donne l'air de vous narguer par tous les détails qu'elle fait miroiter devant vous. Pendant des jours, vous vous demandez comment celle que vous venez de perdre aurait réagi dans telle situation, ce qu'elle aurait dit à telle autre occasion. Elle ne peut pas être morte; pas alors qu'elle est si vivante dans votre mémoire, dans votre coeur. Déni. Puis si vous auriez pu changer les choses. Non, vous auriez le faire! Vous rendre compte plus tôt de la situation... la contrer de quelque manière que ce soit. Colère, culpabilité. Rendu insensé par l'intensité de votre chagrin, illogique, vous tentez de marchander... mais la réalité n'est pas un négociateur sensible au chantage, et la depression vous tend les bras. Loin d'être un refuge agréable, elle vous tiraille, vous pousse vers le fond d'un gouffre profond : votre propre désespoir. Spirale infernale, elle fait le monde apparaître derrière un voile noir... et plus il s'épaissit, plus vous vous sentez mal. Mais plus vous vous sentez mal, plus il s'épaissit. À croire que cela ne s'arrêtera jamais. Il faut plus d'un matin... plus d'un encouragement, plus de forces que vous ne pensiez en avoir pour que la résignation prenne le pas sur le reste. Pas l'acceptation, non, la résignation, vraiment. Vous vous détestez toujours de ne pouvoir rien faire, et l'envie de changer cet état de fait vous... obsède. Vous vous réveillez d'un long songe pour plonger dans un véritable cauchemar, parce que vous êtes sorciers, tout-puissants... non? Si vous êtes au-dessus des vivants, pourquoi ne le seriez-vous pas tout autant de la mort? Il y a des livres. Des formules. Effrayantes, cruelles, sanglantes peut-être, mais elles existent. Vous pouvez être suffisamment fort pour en venir à bout, pour inverser les choses... n'est-ce pas? Pour vous tirer de là il faut une intervention extérieure, celle de quelqu'un qui compte suffisamment à vos yeux pour que ses arguments vous percutent de plein fouet, vous fasse redescendre sur terre. Vous ne pouvez rien faire : vous n'en avez pas le droit. Il est temps de simplement... passer à autre chose. D'accepter. »

    1997. Le regard fixé sur le mur dont elle connaissait maintenant la texture lisse par cœur, Pansy serra les lèvres. L’atmosphère était pesante. C’était la première fois qu’une telle chose lui arrivait : elle aurait souhaité être n’importe où ailleurs plutôt qu’ici. Plutôt que… chez elle. Fermant les paupières un instant, aussi fort qu’elle le pouvait, elle tenta de se convaincre que tout ça n’était pas réel. Il lui était déjà arrivé de faire des cauchemars similaires par le passé. De croire sa mère malade la nuit. Mais le lendemain, tout était normal, et elle se rendait compte qu’elle s’en faisait pour rien. Elizabeth Parkinson était la femme la plus forte qu’elle connaisse ― pourquoi comment pourrait-elle être... malade? Mais ce soit, le sommeil la fuyait, parce que le cauchemar avait empiété sur sa journée la veille. Sa mère n’avait pas paru intouchable, non; plutôt épuisée, blême, fragile. Comme elle l’avait été le jour précédent… et celui d’avant. Comme elle l’était depuis le début des vacances, à vrai dire. Étouffant un sanglot dans son oreiller alors qu’un gémissement douloureux lui parvenait, un éclair déchira le ciel et elle bondit hors de son lit, s’éloignant le plus possible des carreaux de sa fenêtre. Son cœur battait la chamade alors qu’elle reculait jusqu’à la porte. Elle devait… elle voulait… il fallait qu’elle sache. Pansy quitta sa chambre à la hâte et courut le long du couloir qui la séparait de la chambre de ses parents; elle posa une main fébrile sur la poignée mais prit une éternité avant de se décider à ouvrir… pour découvrir une chambre vide. Vide de son père. Il avait probablement déserté les lieux une fois de plus, incapable de faire face à ce que traversait son épouse qui… où se trouvait-elle? La question de l’adolescente trouva sa réponse dans la porte ouverte dans le coin opposé, celle qui donnait sur la salle de bains. Elle avança presque à reculons, désirant voir tout en répugnant à le faire, mais finit par atteindre son objectif. Sa mère était bien là… assise au sol, penchée sur le rebord de la grande baignoire, le corps secoué de sanglots, de hoquets, des tremblements qui la saisissaient à chaque fois qu’elle régurgitait ce qui lui pesait sur le cœur. Pansy laissa sans s’en rendre compte échapper une exclamation choquée, attirant vers elle l’attention de la malade, et ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’elle se rendit compte que ses lèvres étaient noyées de sang.
    « Que fais-tu là, Pansy? Sors, SORS D’ICI! » Les premiers mots s’étaient faits murmure pour aboutir sur un ordre, un cri, et elle ne put qu’obéir. C'était ce qu'elle avait voulu faire à l'instant même où elle était entrée, il lui avait simplement manqué la force de l'impulsion nécessaire à sa fuite. Alors pourquoi les mots résonnaient-ils désagréablement à ses oreilles, encore et encore, comme s'ils la poursuivaient jusqu'à l'extérieur? Elle ne se rendit pas compte qu'elle était dehors avant de sentir la pluie dégoûter sur son visage, se mêlant à ses larmes. Les mots du médicomage lui revenaient, maintenant. Maladie dégénérative. La magie de sa mère s'épuisait, peu à peu rongée par un sort reçu des années plus tôt tandis que, jeune encore, elle luttait aux côtés du Lord pour défendre ses idéaux et refaire le monde sorcier selon sa vision de ce qu'il devait être. Les sorts et les potions avaient ralenti à l'extrême la progression des effets de la malédiction, mais rien n'avait pu les annihiler et ils avaient fini par rattraper Elizabeth. Pansy se souvenait, maintenant... ce n'était pas un cauchemar. C'était vrai, définitivement
    vrai. Un sorcier pouvait vivre sans pratiquer la magie, mais il ne pouvait pas survivre s'il était vidé de ses pouvoirs; c'était douloureux comme une lente agonie, comme la brûlure implacable d'un saignement à blanc. Et Pansy n'avait rien vu venir. Elle s'était simplement plongée dans le déni pour mener sa vie sans être hantée par la mort.

    Elle aurait pu haïr le Lord et les conflits qu'il avait engendré; à la place, elle brûla de colère à l'égard de ceux qui avaient lancé le sort. Des ennemis... forcément un sang-mêlé, un né-moldu ou un traître à son sang. Elle ne savait pas et ne saurait sans doute jamais quelle était l'exacte identité du coupable, mais elle connaissait ses valeurs. Elle savait
    pourquoi il s'était battu, et c'était suffisant pour qu'elle maudisse cette cause, cet espoir qu'il avait défendu. Il avait tué sa mère. Elle se laissa tomber par terre et enveloppa ses genoux de ses bras, nauséeuse. À ses oreilles, les pleurs de la femme qui lui avait donné la vie de se superposaient aux éclats du tonnerre.

    Dear Diary, today will be different. It has to be. I will smile and it will be believable. That smile will say “I'm fine, never mind.” “Yes, I feel better.” I will no longer be the sad little girl who lost her mother. I'll be stronger.
    1997. « Vous vous relevez peu à peu, en dépit de l'impression de trahison qui vous brûle à chaque fois que vous esquissez un sourire. Avez-vous le droit de rire, de ressentir un quelconque bonheur quand quelqu'un que vous aimez n'a plus le loisir d'en faire de même? Et pourtant... la vie reprend son cours. Vous vous faites à ce vide, à cette absence. Vous le regardez en face et lui dites : tu es une part de moi, mais en dehors de toi il y a tellement plus. Et c'est étrange de faire ainsi preuve de courage pour l'être couard que vous êtes en réalité. Seulement, vous ne pouvez nier plus longtemps que le temps a continué d'avancer, sans vous, et qu'il vous faut maintenant le rattraper. Il n'est pas passé sans changements. Mais cela, vous ne le découvrez qu'à travers les regards des autres. Premiers sourires intéressés, premier... rendez-vous. La surprise vous fait accepter, parce que c'est inhabituel et.. flatteur. Vous vous rendez compte que cette fois la Nature ne vous a pas oubliée en chemin, que votre mère n'avait pas tort : la psyché n'est plus une ennemie, puisqu'elle laisse désormais transparaître un charme certain, bien qu'étrange; un charme qui vous est propre et qui ne laisse pas les autres indifférents. Cela emmène une hésitation : en profiter ou... en faire une arme? Tout affront demande vengeance; pourquoi quelqu'un qui vous regardait de haut profiterait à présent de ce que vous avez durement acquis? Premier rendez-vous... première "promesse" non tenue, et pas la dernière. Vous ne voulez pas être un trophée pour des gens qui ne vous acceptaient pas comme vous étiez "avant", alors vous flirtez, peut-être, mais sans jamais vous offrir ― ni corps ni âme. De toute façon vous n'avez jamais eu d'yeux que pour une personne : ce garçon trop blond qui a marqué votre enfance, cet adolescent qui vous a fait chavirer le cœur, ce "presqu'homme" dont la vue vous bouleverse. Vous ne vous saviez pas fidèle mais, quitte à l'être, autant que ce soit pour... lui.

    On dit que la nature a horreur du vide... c'est vrai. Toute place abandonnée doit être comblée, vous le comprenez lorsque les tâches jusque-là dédiées à votre mère vous incombent. Vous devez être à la hauteur des attentes de celui que vous appelez père, de cet homme fantomatique que vous ne faites que croiser durant vos vacances. Il est pire qu'avant : désormais, la barrière des convenance n'est plus la seule à vous séparer, non.. la perte de celle qu'il aimait a creusé un véritable fossé entre lui et le reste du monde, entre lui et vous. Ses manquements aussi, vous devez les combler, non plus pour lui plaire ― chose désormais impossible ― mais pour maintenir ce Nom pour lequel on vous a appris à vous dévouer de tout votre être. Alors, lorsque s'élèvent les rumeurs d'un potentiel retour du mage noir auquel votre famille à prêté allégeance... c'est tout naturellement que vous vous retrouvez lié aux projets de cet homme. Même si cela vous effraie.

    Bien sûr, cette description ne peut vous toucher dans ses moindres détails... parce qu'elle ne représente pas votre vie, mais la mienne. Pansy Parkinson, 18 ans; celle qui dépendait des autres à en avoir mal au cœur. Pour vous qui me connaissez peut-être, ou qui m'avez croisée dans les couloirs de l'école, cette expression sonnera étrangement... mais elle est appropriée. Je dépends bel et bien des autres.. c'est notre lot à tous. La différence entre vous et moi, c'est que peu de ceux qui m'entourent ont à mes yeux suffisamment d'importance pour être significatifs d'un réel changement de pensées, ou pour provoquer des sentiments intensément profonds. Poudlard est un théâtre de marionnettes dont j'observe les changements, luttant sans cesse pour éviter de trop m'attacher à des personnes qui pourraient disparaître d'un claquement de doigts. »

    • RELATIONS : [- Facultatif - Et oui, vous avez certainement fait des connaissances au cours de votre vie qui vous ont plus ou moins marqué.]


WHAT ELSE SWEETIE
    • ANIMAL DE COMPAGNIE : Un hibou tout à fait mesquin prénommé Thémius, dont le passe-temps favori est de pincer les doigts qui le nourrissent. Attention, d'ailleurs, à ne pas le laisser vous survoler par mégarde : il serait bien capable d'agripper quelques mèches de vos cheveux avec ses serres assassines. Pansy est étrangement affectueuse avec lui, elle est d'ailleurs la seule à ne pas craindre ses attaques. Peut-être parce qu'elle a activement participé à son dressage...
    • DANS VOS VALISES : Quelques plumes en sucre pour rendre plus supportables les heures de cours, son matériel scolaire, une quantité surprenante de vêtements – dont elle ne portera probablement pas la moitié – et de paires de chaussures, le dernier exemplaire du Sorcière Hebdo, une photo animée de sa mère.
    • VOS COURS PRÉFÉRÉS ET CEUX QUE VOUS DÉTESTEZ : Contrairement à bien d'autres, Pansy considère les cours d'Histoire de la Magie comme ses préférés. Non que ces maudits animaux que sont les Gobelins l'importent plus que nécessaire; mais ces cours sont basés sur la théorie et ne nécessitent pas vraiment de prise de risque ou d'efforts particuliers, selon elle, si ce n'est un apprentissage plus ou moins régulier. À l'époque où les cours étaient encore d'actualité, elle se plaisait d'ailleurs à regarder les autres paniquer à la dernière minute, à la veille des devoirs, et jeter quelques coups d'oeil désespérés en direction de ses notes à elle - qu'elle gardait bien sûr résolument hors de leur portée. Elle apprécie également les Sortilèges et Enchantements, dans la mesure où la mise en pratique de ce cours est utile dans la vie courante. Pour elle qui n'aime pas apprendre pour rien, c'est un détail non négligeable.

    Par contre, elle a une sacro-sainte horreur de la Botanique. Et pour cause! Cette matière accumule les points négatifs : elle inclut la manipulation de plantes souvent affreuses/dangereuses/salissantes – aucune mention n'est à cocher, elles sont malheureusement toutes d'actualité –, est enseignée par la reine des Blaireaux (à comprendre par là directrice des Poufsouffles) et réclame une attention de tous les instants. Enfin, on ne peut pas dire de miss Parkinson qu'elle brille particulièrement en Potions : les relents bien souvent déplaisants des mixtures composées durant ces cours lui soulèvent l'estomac plus qu'autre chose, et elle ne voit en rien pourquoi certains considèrent cette matière comme un "art", ou quoi que ce soit de potentiellement intéressant. Le fait que Slughorn en soit désormais en charge n'arrange pas vraiment les choses; ce n'est qu'un autre vieux sénile à la botte de Dumbledore.
    • VOTRE POSITION FACE À NOTRE INTRIGUE GÉNÉRALE : Ce qui se passe à l'extérieur de Poudlard, Pansy n'a pas le choix de s'en préoccuper ou non; elle sait son sort intrinsèquement lié aux problèmes que rencontre le monde sorcier et est consciente qu'elle devra bientôt assumer ouvertement le choix qu'ont fait ses parents pour elle. Alors forcément, elle est inquiète.

    Jusqu'à présent, ses critiques ouvertes concernant Dumbledore ne l'empêchaient pas de trouver remarquable la puissance du vieux sorcier et sa capacité à toujours être au courant de tout, à toujours trouver le moyen de gérer les difficultés rencontrées par les occupants du château. Remarquablement géniale ou déplaisante, d'ailleurs, selon les situations... Mais cette fois, sa manie de disparaître régulièrement et de ne jamais se trouver là où on l'attend n'a pas été bénéfique pour l'école – bien au contraire. Pansy a donc semblé étrangement remontée contre cet « incapable notoire » qu'elle jugeait de moins en moins fiable... les premières semaines. Le fait de se retrouver à la merci d'un malade comme Hellson ne lui apparaissait pas comme quelque chose de très rassurant. Elle se plaignait également du sentiment d'enfermement que lui laissait l'impossibilité de franchir les limites du domaine de Poudlard, mais à présent... elle profite, simplement. Être ainsi à l'écart des problèmes politiques des adultes lui permet de respirer, chose qu'elle n'avait plus eu le loisir de faire depuis la mort de sa mère. Cette situation déplaisante lui fournit finalement un refuge qui, peut-être, lui donnera l'occasion de s'ouvrir à des gens qu'elle n'aurait jamais envisagé de fréquenter de près dans d'autres circonstances.. ou pas.

    Si sa vision de la séquestration imposée par Hellson a changé, son point de vue au sujet des idées de ce dernier est sensiblement le même qu'au départ : objectivement parlant, elles pourraient être intéressantes s'il n'était pas si excessif. Pansy est absolument opposée à sa politique anti-pro-sang-purs. Mais est est d'accord avec l'un des points qu'il soulève : les sorciers ne devraient pas se cacher des moldus. Oh bien sûr, il ne peut s'agir là que des répercussions de son éducation. Vivre en communion avec les sans-pouvoirs? Certes, non! Les sorciers devraient pouvoir se montrer ouvertement sans crainte d'être brûlés vifs sur des bûchers – ou pire –, et obtenir le droit de faire taire les crétins qui s'opposeraient à les voir évoluer sans contrainte. Mais le fait est qu'en dépit du conditionnement qui la pousse, depuis son enfance, à considérer les nés-moldus comme des sous-doués, elle ne suit pas le Lord par admiration. Plutôt par crainte, d'une part; pour sa famille, d'autre part; et parce qu'aucun leader plus intéressant ne s'est jusque-là proposé pour la cause. De façon strictement officielle son allégeance va donc à Vous-Savez-Qui. Elle se plait d'ailleurs à le brandir comme une menace lorsqu'il prend à ce pauvre Londubat l'envie de trainer dans les couloirs...

    Outre tout cela, d'un point de vue « pratique », Pansy déplore tout de même l'absence des elfes de maison – ils étaient si utiles!
    • ET SI ON SE PROJETAIT DANS L'AVENIR? : Pansy s'est longtemps imaginée rentière, à profiter allègrement des richesses de celui qu'elle épousera plus tard – si Merlin l'entendait, le « celui » en question porterait le doux patronyme de « Malefoy », mais ne nous éloignons pas du sujet –, mais son attrait pour les racontars l'a peu à peu poussée à s'intéresser à la carrière de journaliste. Rien qui occupe une trop grande part de son temps, non; il devait plus s'agir d'un loisir que d'une véritable carrière. Puis le sérieux l'a rattrapé, et elle a envisagé un poste à la Gazette, journal à la solde du gouvernement. Peut-être moins ambitieux que ce à quoi on s'attendrait de sa part, mais le calcul est simple : les médias sont l'un des grands pouvoirs du pays et tendent à faire pencher la balance de l'avis du public vers une opinion ou une autre. Elle voudrait être cette balance. Ce n'est pas comme si elle devrait vivre de ça, après tout, puisqu'elle est déjà riche et sera l'épouse de quelqu'un qui aura pour rôle de faire prospérer cette fortune.



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    PANSY • rolling in the deep. Milakunis-mila-kunis-26040194-100-100
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• PSEUDO : Sun is up! Move your body o/
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• COMMENT AVEZ VOUS CONNU ESTED? : oulah, j'm'en souviens plus! 'o'
• VOTRE AVIS SUR LE FORUM : je suis re-revenue; ça veut tout dire, non?
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©ESTED !!
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Jeu 20 Oct - 19:55
Une nouvelle Pansyyyyyyyyy PANSY • rolling in the deep. 328613
Bienvenue !!!
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Jeu 20 Oct - 20:00
Pansy et Mila quoi. PANSY • rolling in the deep. 328613

Bienvenue et bonne chance pour ta fichounette. :friends:
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Jeu 20 Oct - 21:06
SELENA c'est re.. re l'ancienne en fait. C'pas sérieux mais j'ai pas pu résister, ested me manquait >.> merci en tout cas! :dance: SARAH thanksalooot o/ Et oui j'avoue, Mila en Pansy.. ça gère PANSY • rolling in the deep. 328613
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Jeu 20 Oct - 21:15
BORDEL PANSY 8D

PANSY PANSY PANSY ♥️

... Ouais stop majuscules. Je suis trop CONTENTE (j'avais dit stop majuscule...), re-bienvenue à toi ma chère ♥️
Haaaan et dire que j'avais parlé de toi à une autre membre il n'y a pas longtemps ♥️ Qu'en bien, si tu te poses encore la question PANSY • rolling in the deep. 789251

Ouaaaaiiiis PANSY • rolling in the deep. 928188
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Jeu 20 Oct - 21:34
Dragooooooooo! PANSY • rolling in the deep. 328613 PANSY • rolling in the deep. 801472 ohnan, pas stop majuscules, un tel entrain rien que pour moi je kiffe forcément *O* ah tu me fais de la pub? *sbaf* C'est flatteur 😄
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Jeu 20 Oct - 21:42
Je te jure, j'ai fait ton éloge PANSY • rolling in the deep. 984531
Aaaaaaah je suis tellement contente... En voyant "Pansy Parkinson" en nouvelle inscrite, j'étais contente mais un peu dégoûtée parce que je pensais à toi, je me disais que tu la faisais tellement bien, c'était dommage, j'aimais bien qu'elle soit libre dans l'espoir que tu reviennes :D

Je suis conteeennte ♥️ *ne le dira jamais assez*
Tu m'as illuminée ma soirée ♥️
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Jeu 20 Oct - 22:09
mraaaaah c'est trop gentil T-T *saitpasquoidire* j'avoue que j'aurais été déçue si elle avait été reprise, bien que ça aurait été plus sage pour moi de la laisser à quelqu'un d'autre xD mais ça me fait plaisiiiir de revenir! Et de te retrouver ici PANSY • rolling in the deep. 801472 D'ailleurs si t'es pas trop surbookée et tout j'fais déjà ma réservation pour un rp (a')
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Jeu 20 Oct - 22:12
Je suis pas mal occupée je t'avoue, je suis pas sûre de pouvoir te répondre vite - mais je pense que je serais plus rapide que notre ancien post XD Mais je ferais un effort et je te gardes une disponibilité de RP donc ♥
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Jeu 20 Oct - 22:27
oh mais t'inquiète pas ça pourra attendre, au pire! Tant que tôt ou tard je te réquisitionne o/
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Ven 21 Oct - 1:25
Hi hi hi hi une Serpentard encore ! YIPPPAHHH !
C'est ma Jesse qui va pas être contente xD
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Kaysa Potter
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Apprentie auror
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Humeur : Prête à se battre s'il faut !
Kaysa Potter
Ven 21 Oct - 12:07
    :O Le retour de notre Pansy :hugh1:
    Re bienvenue parmi nous, contente de pouvoir te compter de nouveau parmi nos membres chéris :friends:
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Ven 21 Oct - 12:45
Bienvenue :)
Je dis pas "re" je ne te connais pas :P
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Ven 21 Oct - 20:41
Bienvenue :)
Une Pansy PANSY • rolling in the deep. 328613
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Sam 22 Oct - 11:37
Bienvenue PANSY • rolling in the deep. 984531
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Sam 22 Oct - 15:30
Rebienvenue alors Pansy!!! Contente de t'avoir de nouveau parmis nous!!!
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Lun 24 Oct - 0:53
merciiii tout le monde! PANSY • rolling in the deep. 801472
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Mar 1 Nov - 13:57
Ooooooh ! PANSY !!! Mais c'est toi ?!!

Je suis trop contente ! Tu es revenu ! (Mais du coup, je suis déçu d'avoir abandonné Harry *Oui, j'ai osé ... Mais en même temps, j'avais pas le choix*. J'adorais tellement notre lien !!!)

En tout cas, bon retour parmi nous !!
Gros bisous :ap:
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Jeu 3 Nov - 5:30
héhé, c'est bien moi. Roooh ça m'fait plaisir de te revoir! PANSY • rolling in the deep. 928188 PANSY • rolling in the deep. 801472 J'ai vu que tu as lâché Ryry, oui T-T mais bon hein, je serais mal placée pour te blâmer xD
Merci pour l'accueil! kiss too ♥️
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Ven 4 Nov - 17:21
double-post ― mais c'est pour la bonne cause! Fiche finiiiie... si j'ai rien oublié o/ j'me suis permis de reprendre quelques trucs sur mon ancienne présentation, même si l'histoire et le caractère ont pas mal changé. J'espère que ça ne vous gênera pas PANSY • rolling in the deep. 328613
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Kaysa Potter
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Kaysa Potter
Ven 4 Nov - 20:16
    Comme toujours, ta fiche est magnifique <33 Validée une nouvelle fois :) J'espère que tu restera looooooongtemps avec nous cette fois :hugh1: Personne ne joue Pansy aussi bien que toi :D
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Ven 4 Nov - 20:41
graouu c'est gentil PANSY • rolling in the deep. 928188 Et oui c'est promis, cette fois je reste xD
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Ven 4 Nov - 22:16
Je suis d'accord avec Kay', personne ne joue Pansy aussi bien que toi ! Ne t'en va surtout plu ! ^^
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Siméon MacFly
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Siméon MacFly
Sam 5 Nov - 0:03
Ma foi une très belle fiche, un beau personnage :)

Re-Bienvenue si j'ai bien compris ? :)
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