SHOW ME, SHOW ME BABY

• NATIONALITÉ(S) & ORIGINE(S) : Jillian est née et a passé son enfance à Londres. Ses deux parents sont de purs britanniques. Jillian est donc une anglaise invétérée.
• VOTRE SANG : Jillian est née-moldue. Il y a pourtant, parmi certains membres de son arbre généalogique, certains sorciers, pour la plupart sang-mêlés.
• PHYSIQUE : S’il y a bien une chose que Jillian aime chez elle, c’est son physique. En effet, du haut de ses 1m72, cette jeune fille au corps élancé et fin ne laisse personne indifférent. De longues jambes, un corps svelte à en couper le souffle, une démarche gracieuse qui en fait craquer plus d’un… Oui, Jillian a un corps de mannequin, ce qui lui a malheureusement valu certaines déceptions amoureuses, les garçons qu’elle rencontrait ne recherchant pas de relation sérieuse. Son visage est doux, angélique : un petit nez pointu, une bouche bien dessinée, de petits yeux bleus dont le regard est perçant et profond, après tout ne dit-on pas que les yeux sont le miroir de l’âme? Ses longs cheveux blonds lui donnent un genre rebel qu’elle apprécie beaucoup et qu’elle entretient à travers son style vestimentaire, un style un peu « rock n’ roll » tout en restant féminin. Elle ne supporte pas ces gens fades, respectant en tous points le règlement du port d’uniforme, et se rabaissant à ne porter que cela. Elle trouve ça bien trop simplet, trop morne ! Pour elle, il est important d’apporter sa touche personnelle afin de montrer qui l’on est réellement. C’est pourquoi la belle se sent obligée de retoucher son uniforme, en y apportant des accessoires, ou en changeant de veste ou de jupe par ci par là. Son style est varié et peut changer d’un jour à l’autre selon son humeur. Parfois, elle aime être remarquée et joue sur la provocation, mais il arrive également qu’elle veuille passer inaperçue et reste donc plus sobre. Si vous la croisez dans les couloirs, vous penserez sûrement « mais quelle gosse de riche avec son air supérieur ! » car oui, elle arbore cet air hautain presque malgré elle, c’est une sorte de carapace offensive qu’elle s’est construite pour cacher les blessures du passé.
• CARACTÈRE : Jillian a toujours débordé de joie de vivre. Pour elle, la vie est un cadeau dont il faut prendre soin. Dotée d’un sens de l’humour très ouvert, elle a toujours su détendre l’atmosphère lorsqu’il le fallait. Que ce soit pour venir en aide à un ami et lui remonter le moral, ou bien pour cacher sa propre détresse. Oui, elle s’est souvent cachée derrière l’humour pour ne pas dévoiler ses états d’âme. Souriante, gentille, à l’écoute, un sens de la justice très développé, elle brillait comme un rayon de soleil. Pourtant, depuis quelques temps, elle n’est plus du tout la même. Pourquoi me demanderez vous? Eh bien demandez le à ce cher Anthony. Cette histoire l’a totalement déboussolée. L’amour, la sincérité et la fidélité ont toujours été très importantes pour elle. Peut-être en avait-elle une vision trop utopique? En tout cas, Goldstein lui a ouvert les yeux. Et à désillusion totale, revient changement radical. L’ancienne douceur qui l’habitait s’est transformée en une agressivité terrifiante. Toujours sur la défensive, la méfiance est devenue prédominante chez elle. Le soleil s’est couché, la lumière s’est éteinte. Autant vous dire que sa confiance devient une denrée rare, et qu’elle ne laisse plus aucun garçon s’approcher d’elle, hormis ses rares amis qui ont été présents lorsqu’elle en avait besoin. Quant aux autres, elle prend un malin plaisir à jouer avec leurs sentiments, ou bien à tout simplement déverser sa colère sur eux. La petite, autrefois si naïve, a dit adieu à cette belle innocence, ne laissant entrer dans son cœur que ce qu’ils le méritent. Son franc-parler est devenu son arme de prédilection et peut en blesser plus d’un. Mais son tempérament reste tout de même à nuancer. Il arrive parfois que le petit agneau qu’elle était ressurgisse, dans un élan de « faiblesse » comme elle le décrirait, ou tout bonnement car la personne le mérite. Vous aurez bien compris, cet être à l’apparence angélique est désormais à fleur de peau, imprévisible et très lunatique. Qui sait, il n’est peut-être pas trop tard pour que la Jillian que tout le monde aime réapparaisse… L’avenir nous le dira.
• PARTICULARITÉ(S) : Jillian a toujours eu une mémoire bien développée, une sorte de mémoire photographique. C’est sûrement de là que proviennent ses bonnes notes.
• PASSION(S) & LOISIR(S) : Jill’ est une passionnée de magie, mais n’a tout de même pas oublié sa première passion de « moldue », la musique. Il lui arrive encore parfois de jouer quelques morceaux sur sa guitare. Elle aime aussi passer du temps à jouer et parler avec Picky, son chat. Il est peut-être le seul avec lequel elle est restée elle-même.

NOW TELL ME YOUR STORY

• SITUATION FAMILIALE : George Stewart et Katy Stewart sont tous les deux des moldus. Tous deux ignoraient l’existence du monde de la magie jusqu’à ce que leur fille Jillian reçoive sa lettre pour Poudlard. Enfin, dire que tous les deux n’y connaissaient rien serait un mensonge. En réalité, George connaît très bien le monde des sorciers car son frère, Alexander Stewart, en est un, tout comme ses parents, donc les grands parents de Jillian. Seulement, apprenant tous les dangers que renferme cette vie enchantée, le père de Jillian s’était juré que sa fille n’en ferait pas partie. Et il s’était fait à cette idée. Mais lorsqu’il apprit la nouvelle, son pire cauchemar devint réalité. Jillian n’a jamais voulu l’écouter, pour elle ce qu’il pensait n’était que pure folie. C’était un rêve qui s’offrait à elle, même si, en grandissant, elle compris la réaction de son père.
• VOTRE HISTOIRE :


Londres, 27/04.
« C’est une fille ! Comment comptez-vous l’appeler? » « Jillian. »
Eh oui, la famille Stewart accueillait son nouveau membre ! Cette petite fille était tant attendue. Il paraît qu’on ne choisit pas sa famille, pourtant Jillian était bien tombée. Deux parents prêts à lui offrir tout l’amour qu’elle méritait, une mère gentille, calme, qui avait dit adieu à son métier pour élever son enfant. Un père, patron d’une entrepris créée par ses soins. Un climat chaleureux, une famille aisée, même riche.. Tout ce dont une petite fille pourrait rêver.
Jillian grandit dans cette atmosphère remplie d’amour et de tendresse, telle une petite princesse. Mais ce conte de fée ne dura guère longtemps. En effet, lorsque Jillian eut six ans, sa mère tomba enceinte d’un second enfant; un garçon, qu’elle avait dans l’idée d’appeler William. Lors de la naissance de William, la famille était plus soudée que jamais, et vivait dans le plein bonheur. Malheureusement, chaque bonne chose a une fin, et cette petite vie tranquille se transforma en cauchemar. Un matin, lorsque le petit frère de Jillian avait deux mois, Jillian fut réveillée par les cris horrifiés et les pleurs démesurés de sa mère. Pourquoi était-elle en train de pleurer? Qu’est-ce qui avait bien pu se passer?

« Ton petit frère est parti. Tu comprendras quand tu seras plus grande. »

Pourquoi était-il parti? Et comment avait-il bien pu partir, si petit, ne sachant pas même marcher? Jillian ne comprenait pas. Les années passèrent, Jillian ne reconnaissait plus sa mère. Autrefois si douce, si attentionnée, sa mère ne portait plus aucun attention à Jillian. Elle ne la regardait même plus.
« Elle est triste, ta maman. Mais elle t’aime toujours, ne t’en fais pas. » C’est-ce que lui disait son père.
Pourtant, rien ne changea. Sa mère lui reprochait la mort de William. Elle-même n’aurait pas su l’expliquer. Ce sont des choses qui arrivent, lors de la perte inexplicable d’un enfant, le besoin est de rejeter la faute sur un autre. Quant à Jillian, elle compris petit à petit en grandissant, et dû vivre avec.

« Papa regarde, grâce à moi le papillon est rose, il n’est plus bleu ! » « Mais, comment as-tu fait ça? »

Ce n’est que le jour des onze ans de Jillian, quand la famille appris que celle-ci allait être envoyée à Poudlard, que sa mère pris pour la première fois depuis cinq ans, sa fille dans ses bras. Ne pas voir sa fille pendant toute une année lui a rappelé à quel point elle l’aimait, et leur relation s’est améliorée, et ressemble maintenant trait pour trait à celle d’une mère et de sa fille.

Londres, 30 ans plus tôt.

« Joyeux anniversaire Alex ! » « Merci, George. »
Le père de Jillian n’avait que treize ans en ce temps. C’était l’anniversaire des onze ans de son petit frère, Alexander. Ce jour changea la vie de ces deux frères. L’un appris qu’il était un sorcier, l’autre appris l’existence d’un monde magique mais également le fait qu’il n’en faisait pas partie. La séparation fut dure, devoir passer chaque année sans voir son frère fut difficile pour George. Son frère lui manquait, mais secrètement, il le jalousait.

« Pourquoi lui, et pourquoi pas moi? » Mais lorsqu’il avait quinze ans, Alexander lui raconta les différents dangers qui entouraient le monde des sorciers. Il était terrorisé, et George avait l’impression que son frère avait muri trop rapidement. Et pour cause, celui-ci était sage, réaliste, et il se devait de l’être. C’est à partir de ce jour que George accepta sa nature en tant que moldu, oublia petit à petit l’existence de la magie, se consacrant à ses études afin d’assouvir ses ambitions grandissantes. Et il se jura que son enfant ne connaîtrait pas le même sort que son frère.

Et pourtant, 40 ans après, sa fille prenait la route vers la gare de Pré-au-lard, et fit ses premiers pas dans l’enceinte de Poudlard. De nos jours, Jillian a dix-sept ans. Elle est devenue une jeune fille mûre, intelligente, belle. Ses parents sont désormais fiers de leur petite fille. La situation familiale s’est arrangée, la mère de Jillian a eu un petit garçon nommé Peter, et la bonne humeur règne de nouveau chez les Stewart. Il paraît qu’on ne choisit pas sa famille et, même si l’envie nous prend par moments, on ne l’échangerait contre rien au monde.

En ce qui concerne Poudlard, Jill' a entamé sa septième année, qui a plutôt mal commencée je dois dire. Cette situation avec Goldstein l'a laissée de marbre, elle s'est renfermée sur elle-même et devient aussi perfide qu'un serpentard aigri. Malgré tout, Jillian entretient encore certaines relations, mais désormais elle choisit avec qui. Lorsqu'Hellson s'est amusé à bloquer toutes les entrées des salles communes, les élèves se sont retrouvés tous ensemble, toutes maisons confondues. Et c'est là que Jillian a pu se rapprocher de certains verts et argents. Les cours se déroulaient très bien jusqu'au jour où Hellson a décidé de se jouer des élèves. Plus aucun adulte dans l'enceinte de Poudlard ! Les élèves ne peuvent même plus sortir.. Une anarchie totale s'est emparée de Poudlard. Jill' a très mal vécu les premières semaines. C'était la panique, et Jillian n'a pas supporté ce manque d'organisation et cette impression d'être en prison. Mais deux mois après, elle s'est adaptée, tous se sont calmés. Et il faut bien dire qu'elle se sent plus tranquille, car la situation en empêche certains de venir la contrarier ! Elle s'est habituée à la situation et celle-ci commence à lui plaire, même si l'anxiété est au rendez-vous. En effet, Jill', comme la plupart des élèves, se demande quand les adultes reviendront... Il lui est arrivé de croiser certains groupes de première année, qui semblaient totalement déboussolés. Ne voyant pas grand monde leur venir en aide, elle a décidé de les prendre son son aile. Leur apporter du réconfort, et une personne pour rétablir l'ordre. Ils sont parfois agaçants et totalement immatures, mais, même si elle ne l'avouera sûrement pas, elle commence à les apprécier ces petits.
Ce qui l'ennuie le plus, c'est le manque total de cours; elle essaie donc tant bien que mal de suivre le reste du programme à la bibliothèque, même si ce n'est pas pareil. Et puis, cerise sur le gâteau, récemment certains élèves ont totalement disparus, dont son cher Anthony, et dont cette garce de Pandora ! Jillian ne le montre pas, et essaie de ne pas trop y penser, mais elle ne peut s'empêcher de se demander où ils peuvent bien être, et pourquoi il a osé partir, premièrement sans la prévenir, mais en plus avec la préfète de serdaigle ! Que peuvent-ils bien faire? Qu'est-ce qui se passe réellement entre eux? Où sont-ils, et comment ont-ils pu partir? Elle est perdue entre la tristesse et la rancune.. Une chose est sûre, ça ne va pas s'arrêter là. Jillian est bien décidée à trouver toutes les réponses aux questions qu'elle se pose, mais à quel prix?

• RELATIONS : Lors de sa première année à Poudlard, Jillian a fait une mauvaise rencontre avec un Serpentard. Le vert et argent l’a insulté de sang-de-bourbe, expression que Jillian ne connaissait même pas. Elle ne savait pas ce que cela signifiait, c’est pourquoi lorsqu’Anthony Goldstein est intervenu pour la « défendre », la belle ne comprenait pas ce qui lui prenait ! Mais il lui a ensuite expliqué, et elle lui a été reconnaissante. C’est ainsi que leur amitié est née. Anthony était comme son meilleur ami, jusqu’au jour où elle a compris qu’elle ressentait plus que de l’amitié à son égard. Elle l’aimait, oui, elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimé un garçon auparavant. Autant vous dire que son petit cœur a été brisé en milles morceaux lorsque, au retour des grandes vacances, Anthony a préféré en rester là. Elle lui en a voulu, et elle lui en veut toujours ! Il s’est permis de flirté avec une autre ! Jillian s’est sentie blessée, trahie. Une envie de vengeance est apparue, qu’elle continue de développer en côtoyant de près d’autres garçons. Mais s’il n’y avait que ça… Elle côtoie surtout les verts et argents ! C’est peut-être ces nouvelles fréquentations qui la rendent de plus en plus… détestable.

WHAT ELSE SWEETIE

• ANIMAL DE COMPAGNIE : Un chat roux nommé Picky.
• DANS VOS VALISES : Oh, il y a un tel bazar là-dedans ! Tout d’abord, on peut y trouver une petite photo de ses parents, bien que la vue de sa mère ne lui fasse pas toujours du bien. Il y a ensuite ce que toute fille emporte avec elle: des vêtements et autres accessoires pour embellir une tenue ! Quelques livres, car Jillian apprécie la lecture, surtout des livres de magie, de quoi écouter de la musique.. Enfin des choses bien banales, il faut le dire.
• VOS COURS PRÉFÉRÉS ET CEUX QUE VOUS DÉTESTEZ : Parmi les cours que Jillian déteste, l'étude des moldus et l'astronomie sont en tête de liste. L'étude des moldus l'ennui profondément, car étant une née-moldue, elle connait déjà tout en ce qui les concerne. L'astronomie ne l'a jamais vraiment intéressée, sans aucune raison apparente. Mais s'il y a bien des cours qu'elle suit avec enthousiasme, ce sont les enseignements de Métamorphose et de Sortilèges et enchantements. Fascinée par la magie, elle aime apprendre de nouveaux sorts, ou tout simplement manier la baguette pour utiliser la magie.
• VOTRE POSITION FACE À NOTRE INTRIGUE GÉNÉRALE : Jillian ne sait quoi en penser. D’un côté, elle a toujours soutenu les décisions de Dumbeldore. Pourtant, ce nouveau mage, Oswald Hellson, l’intrigue et l’intéresse. En effet, il prône l’égalité entre tous, chose pour laquelle Jillian s’est toujours battue. Pourquoi y aurait-il une hiérarchie selon le sang, selon que vous soyez un sorcier ou un moldu? De plus, son idée de supprimer les quatre maisons de Poudlard est une idée que rejoint sans hésitation Jillian. La personnalité d’un individu n’est pas toute rouge, toute jaune, toute bleue ou toute verte. L’être humain est tellement complexe, tellement rempli de contradictions ! Jillian a toujours détesté ce genre d’étiquette qu’on vous colle sur le front et qui vous suit toute votre vie. Mais elle est totalement contre la révélation du monde sorcier aux moldus ! Les pauvres seraient déboussolés, effrayés, inquiets, et tout ce qui s’en suit. Elle l’a très bien vu avec la réaction qu’ont eu ses parents lorsqu’ils ont appris la nouvelle à son sujet. Voilà pourquoi elle ne divulgue que rarement ses convictions, et ne tombera tout de même pas sans ses filets. Quant à Voldemort, il est clair et net qu’elle est contre, sans aucun doute !
• ET SI ON SE PROJETAIT DANS L'AVENIR? : Même si cela la séparerait de ses parents, Jillian rêve depuis son arrivée à Poudlard de travailler au ministère de la magie, c’est pourquoi elle s’implique énormément dans ses études afin de se donner toutes les chances d’y parvenir.

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