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Impression de déjà vue
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Sam 20 Jan - 18:36


Impression de déjà vue
2 ans, 20 ans, 40 ou même 80 ans, qu'importe l'âge de l'enfant, un père reste toujours un père.
Beaucoup de personnes sont passées par Poudlard, mais si autrefois, revenait souvent le même discours sur les années d'études dans cette école, récemment les choses ont changé. Les jeunes gens de l'époque de Calvin en gardent un très bon souvenir, ceux de l'époque de sa petite-sœur déjà moins et ne parlons même pas de ces derniers mois fraîchement écoulés. Comme quoi, la direction d'un établissement fait énormément dans l'ambiance et l'envie d'apprendre. Mais depuis le retour d'Albus, il y a cette impression pesante qui s'est envolée. Impression que le jeune homme avait ressenti lors de leur entrée dans la Grande Salle, avec à leur tête Gellert.

Dés lors, qu'importe que les camps ne soient plus les mêmes, Calvin avait ressenti l'envie de reprendre des cours dans cette école, histoire de terminer ses études, maintenant que l'université s'y trouvait. Il en avait été ainsi pour plusieurs des Dissidents. D'autant que c'était fait pour arranger les affaires de Gellert, que d'avoir certains de ses partisans dans les murs du château Écossais. Cependant, il restait une ombre au tableau et pas des moindres. Il va de soi qu'Albus garde à l’œil tout ce beau monde, pour ceux dont il connaît l'appartenance au groupe de son vieux pote. Mais ce n'est pas lui qui est le plus dérangeant. A Poudlard se trouve toujours le père de Calvin et ce cher Severus n'a pas omis de se rendre compte que ses rejetons étaient présents lors de l'attaque. Il reste à imaginer qu'il compte bien leur mettre la main dessus.

Depuis son retour à l'école, Calvin avait fait de son mieux pour l'éviter un temps soi peu. Chose qui devenait de plus en plus difficile avec le temps. Et qui finirait par être impossible d'ici peu. Voir même plus tôt que le metalleux ne l'aurait imaginé. Sans crier gare, sans donner aucun signe avant coureur de sa présence dans le coin, Severus sortit d'on-ne-sait-où. Le jeune Dissident se retrouva fort bien mal face à son père, sans même avoir eu le temps de s'y préparer. Il chercha à formuler une phrase ou juste quelques mots, mais l'ancien Directeur de Poudlard ne semblait pas avoir envie de discuter dans ce couloir. Aussi, il l'attrapa par l'oreille, commençant par le tirer avec lui.

« Aïeuh … tu comptes me tirer par l'oreille jusqu'à ton bureau ? »

Il ne crut pas si bien dire, puisque les cachots arrivèrent très vite, puis enfin l'ancien sûrement nouveau, bureau de son père dans lequel il fut poussé et que son oreille lui fut enfin rendue. Se la frottant, en marmonnant des reproches quasiment inaudibles, Calvin remarqua aussitôt la présence de son faux-jumeau dans cette même pièce.

« A toi aussi, il t'a à moitié scalpé l'oreille ou je suis le seul ? »

Ironie quand tu nous tiens. Pourtant, Calvin n'eut pas l'occasion de faire longtemps le malin, puisqu'il sursauta lorsque la porte claqua. Regardant Severus qui s'avançait dangereusement vers eux, le plus jeune des deux frères recula aussitôt de quelques pas. Qu'importe l'âge, on reste toujours le fils de son père et si celui-ci veut nous en coller une, il y a fort à parier qu'on y échappe pas facilement, à moins de courir peut-être. Sauf qu'ici-même, dans ce bureau, il n'y avait aucune autre sortie que celle se trouvant derrière Rogue Senior.

« Rassure-moi, tu ne comptes pas nous cogner ? »

Dit-il en tentant de détendre l'atmosphère, tout en continuant de reculer discrètement.

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Dim 28 Jan - 17:58
Impression de déjà vue Assis sur une chaise, Edwin attendait aussi patiemment qu'il le pouvait. Son père s'en était allé de la pièce, mais le fils savait bien qu'il n'allait pas tarder. A vrai dire, il se doutait également qu'il était parti à la recherche de Calvin, pour le ramener dans son bureau, se trouvant à nouveau dans les cachots. Son ancien bureau, celui qu'il possédait déjà lorsque les faux-jumeaux entraient dans leur première année à Poudlard.

Si le sable s'échappait vite du côté supérieur du sablier, Edwin aurait fait n'importe quoi pour être en mesure de ralentir le temps. Il n'était pas venu jusque-là de son propre chef et lui non plus. Lui étant Calvin qui venait d'être entré de force, et par l'oreille, dans la petite pièce lugubre. Son frère mit un certain temps avant de le remarquer ou au moins de lui porter un certain intérêt au point de lui adresser quelques mots.

"Non moi j'ai capitulé dés que je l'ai vu débarquer à l'autre bout du couloir."

En effet, depuis leur retour à Poudlard, Edwin s'était fait plus discret que possible. Il allait même jusqu'à se planquer parfois, quand il entendait la voix de son père ou qu'il l'apercevait. Une fois encore, il s'est dépêché de sortir du château, pour lui filer entre les doigts. C'était assez simple, sachant qu'il n'est plus scolarisé à Serpentard et que sa salle commune ne se trouve plus dans les cachots de l'école. Pourtant, comme les plus sages peuvent le dire, toutes les meilleures choses ont une fin. En l'occurrence, c'était ce jour qui allait marquer la fin de la fuite des deux frères Rogue. Un jeu du chat et de la souris, qui a quand même duré quelques jours. Edwin ne se serait pas douté un seul instant, qu'il aurait eu ce petit temps de répit, persuadé que Severus allait leur tomber dessus bien avant. A moins qu'il faisait de son mieux pour se calmer avant de secouer ses deux rejetons.

Il faut dire que de toutes les conneries qu'ils ont pu faire, cette fois, ils avaient mis la barre bien haute. Non que rejoindre les Dissidents étaient une bêtise en soi, c'était plutôt de faire partie de l'assaut de Poudlard qui en avait été une. Ils auraient mieux fait de rester en retrait, afin de garder leurs couvertures secrètes et ainsi, de ne pas se faire entreprendre par le paternel.

Mais avant que Calvin l'ouvre à nouveau et risque de mettre le Directeur de Serpentard encore plus en colère, qu'il ne l'était déjà, Edwin tenta d'arrondir les angles à sa façon.

"Je sais que tu es en colère. Et tu as parfaitement bien le droit d'y être vu ce que tu t'aies pris, mais Poudlard est libre. L'école est libérée des Mangemorts et d'Hikkins. Dumbledore est de retour. Tu ne peux pas dire que l'assaut des Dissidents ait été une mauvaise chose. Comme nous, c'est tout ce que tu désirais, ou je me trompe ?"

Il y avait sûrement une belle grande part de vérité dans ses propos. Après tout, Severus n'a jamais été un véritable Mangemort et il n'appréciait pas du tout Hikkins. Voilà donc deux problèmes d'écartés. A la rigueur, il pourrait leur en vouloir pour s'être retrouvé assommé. Mais quelle idée aussi, il a eut de vouloir attaquer Gellert Grindelwald !

©️ CRIMSON DAY
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Jeu 8 Mar - 9:29
Impression de déjà vue
Rogue, Père et fils
Est-ce le calme avant la tempête ? Peut-être seulement le besoin de réfléchir, de peser le pour et le contre. Mais Severus n'avait pas cherché à entreprendre de suite, ses chers enfants. Plus précisément ses chers fils. Poudlard était enfin libéré d'une emprise qui aura duré des années. Car avant la dictature des Mangemorts, il avait été dirigé par Hikkins, l'ambiance n'y était pas plus joyeuse à cette époque. Mais tout était redevenu normal pratiquement. Quelque chose que les gens espéraient, à l'intérieur comme les parents d'élève à l'extérieur. Un doux rêve qu'il n'était alors plus possible d'atteindre. La sécurité de Poudlard. Un seul homme a été capable d'allier la bonne humeur, la sensation d'une seconde maison, à la défense presque sans faille de l'école. Albus Dumbledore est de retour et Severus Rogue n'est pas mécontent. La pression est redescendue d'un seul coup, depuis que le véritable Directeur a repris ses fonctions. Mais ce n'est pas sans mal. Les Dissidents, avec à leur tête un autre très réputé et puissant Mage Noir, ont massacré des Mangemorts, pour libérer l'école. Qu'importe, il n'y a pas de guerre sans perte et ici-même, dans le cas de cette attaque, les pertes n'étaient qu'insignifiantes. Des Mages Noirs qui s'en prenaient à des enfants, méritaient-ils autre traitement ? Point de vue Severus : non, point de vue Albus : sans aucun doute, qu'il dirait oui.

Si tout était redevenu comme quelques années en arrière, avec même d'anciens élèves de retour sur les bancs de l'école, grâce à l'université accueillie en ces murs, il restait un point d'ombre. Et pas un petit. Lors de l'attaque de Poudlard, les Dissidents comptaient dans leurs rangs, Edwin et Calvin. Ses propres fils. Severus ne leur en veut pas d'avoir participé à la libération de l'école. C'est plus profond que les simples apparences. Il a toujours voulu que ses enfants restent en dehors de la guerre, comme n'importe quel parent le souhaiterait. Il les a écarté au mieux des Mangemorts, retardant toujours l'échéance, pour les convier à venir prendre la marque des ténèbres. Jusqu'ici, les aînés ayant vingt ans, si leurs corps sont couverts de marques, il ne s'agit là que de tatouages, mais en aucun cas d'une trace montrant leur adhérence aux groupes du Seigneur des Ténèbres. Mais là, ils se sont tous les deux condamnés.

Voilà des mois qu'il ne les avait plus vue et qu'il était resté sans nouvelle d'eux. Les seules qu'il avait eu, venaient d'Alicia, le jour où elle lui a rendu visite pour lui annoncer que le mur d'Azkaban avait été détruit et que Edwin en avait profité pour s'enfuir. Il a aussi appris, que quelques jours plus tard, le manoir des Malefoy avait été attaqué par ses fils et Riley, une ancienne des Mangemorts. La raison fut noble, récupérer le nourrisson du cadet. Et à leur place, Severus aurait agi de la même façon. Cependant, leur adhésion aux Dissidents était-elle nécessaire ? Voyaient-ils réellement en Gellert Grindelwald quelqu'un de meilleur que Tom Jedusor ? Les deux mages doivent se haïr, mais pourtant, ils se ressemblent tant. Semer la destruction, la peur et la mort, les amuse.

Depuis le retour de Dumbledore, Rogue avait mis quelques jours avant de décider qu'il devait s'entretenir avec ses fils. Il lui fallait bien ce laps de temps, pour que son envie de les étriper, le quitte. Le premier qu'il croisa, fut Edwin, l'aîné de ses enfants. Son garçon ne chercha pas à s'enfuir et le père n'eut pas besoin de parler pour que le gamin comprenne qu'il devait le suivre jusque dans son bureau. De là, Severus lui avait intimé l'ordre de ne pas en sortir, le temps qu'il mette la main sur son frère. Chose déjà plus difficile, puisque Calvin le fuyait comme la peste. Le temps qu'il mit à le traquer dans quasiment tout le château, commençait sérieusement à faire renaître la colère qu'il avait contre eux deux. Alors quand le moment fut opportun, il surprit le second né du duo de jumeaux et pour l'empêcher de s'enfuir à nouveau, il le choppa par l'oreille, l'entraînant à sa suite. Bien entendu, ce nigaud ne pouvait s'empêcher de la ramener, alors qu'il se trouvait dans une très mauvaise position.

« Si le restant de ton corps veut suivre, il est le bienvenu. »

Traduction, si tu veux perdre ton oreille continue d'essayer de te défaire de son emprise. Severus le traîna de cette façon jusque dans son bureau, le poussant à l'intérieur, une fois qu'il l'eut relâché. Peut-être plus énervé qu'il voulait le faire paraître, il claqua plus fort qu'il ne l'aurait souhaité, la lourde porte derrière lui. N'y prêtant que guère attention à ce détail, le Directeur de Serpentard s'avança vers ses deux enfants. Cependant, coupé dans son élan, il s'arrêta net de marcher, portant d'un seul coup toute son attention sur Calvin qui lui demandait s'il allait les cogner. A-t-il déjà seulement levé la main sur eux ? A moins qu'il soit pris d'une soudaine amnésie, ce n'est jamais arrivé. Certes, il a traîné le cadet des jumeaux par l'oreille à l'instant ou il l'a déjà collé au mur par le passé, parce que cet idiot ne l'écoutait pas et cherchait à se barrer. Mais jamais, il n'a levé la main sur eux, ou encore sur leur sœur. Il s'est toujours juré de ne pas reproduire l'enfance qu'il a lui-même subi. Et jusqu'alors, ses fils allant sur leurs vingts ans, il n'a jamais failli à sa promesse. Cependant, en-dehors de sa propre conscience, il n'y a que peu de monde au courant qu'il s'est, un jour, fait une telle promesse. Ses fils n'en faisant pas partie. Alors pourquoi ne pas en jouer ?

« Ne me tente pas. »

Severus ne l'aurait pas fait de toute façon, mais de cela, Calvin et Edwin n'en savent rien. Et ce dernier prenait à son tour la parole, de façon un peu plus intelligente que son frère. Le père désigna un siège au cadet, pour qu'il s'y installe et il avait plutôt intérêt à le faire.

Plissant un instant les yeux aux premiers mots d'Edwin, peut-être bien qu'il allait revenir sur sa promesse d'autrefois, s'il s'aventurait sur la pente glissante qu'il semblait vouloir prendre. Mais le garçon, très intelligent, rebondissait très vite sur la suite, qui stoppa net Severus dans son envie naissante de l'étrangler.

« C'est tout ce que tout le monde désirait, bien sûr. Mais jamais je n'ai voulu que vous vous mêliez de cette histoire. J'ai toujours fait mon maximum pour que vous restiez en dehors de tout cela. J'ai retardé l'échéance au plus tard, pour votre adhésion chez les Mangemorts, alors que des gamins plus jeunes que vous, portent déjà la marque. Et au lieu de rester tranquille, vous vous liez à Grindelwald ! C'était déjà complètement idiot de rejoindre l'Inquisition et toi l'Anarchie, qui est à l'origine de tout ce bordel, mais là vous mettez la barre très haute tous les deux. »

Severus est connu pour ne jamais montrer ce qu'il ressent, mais quand bien même son ton restait identique à la normale, il appuyait sur certaines de ses paroles, pour leur faire comprendre qu'ils ont merdé.
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Sam 19 Mai - 6:16


Impression de déjà vue
2 ans, 20 ans, 40 ou même 80 ans, qu'importe l'âge de l'enfant, un père reste toujours un père.
Quelque part, Calvin s'était attendu à une telle réponse de la part de son frère. Edwin peut être courageux, mais face à leur père, il ne la mène jamais bien large. Bon faut dire aussi, que Cal' n'est pas bien différent. Il fait souvent le petit con de service, l'adolescent arrogant, mais il finit toujours par capituler de toute manière. Pourtant là, il pouvait pas s'empêcher de lever les yeux au ciel, comme pour se moquer de son frère jumeau.

"Tsss, flippette."

Évitant quand même de rester trop longtemps près de Severus, évidemment que Cal' s'était vite fait reculé. Il avait voulu se montrer ironique en demandant s'il comptait les cogner, mais au lieu de le surprendre -apparemment-, son père semblait envisager cette option. Alors, autant dire que le jeune homme ne tarda pas à prendre place sur la chaise que le Directeur déchu de Poudlard, lui montra. Bon, il fut néanmoins soulagé qu'Edwin sorte un truc intelligent, même si ça énerva quelque peu le paternel. Pourtant là, finalement, le plus jeune des jumeaux, n'avait plus vraiment envie de déconner ou de rester le fils à papa, qui encaisse sans broncher. Sage, est-ce qu'il le restera ? C'est pas sûr que Calvin parvienne à fermer sa bouche bien longtemps. Il se fit violence pour ne pas intervenir et laisser Severus finir de parler. Son regard se promena entre père et frère, jusqu'à ce qu'il fut trop difficile de rester silencieux.

"Et alors quoi ? Tu voulais qu'on reste sagement planqué, lui en taule et moi bien tranquille dans mon coin ? Ils avaient mon fils et si c'était à refaire je le referais. Seuls les Dissidents m'ont aidé à le récupérer, alors que toi, tu n'as rien fait pour les empêcher de me le prendre. Mais à quel moment, tu as arrêté de nous protéger ? Tu aurais au moins pu prévenir, je sais pas moi, envoyer un mot. Histoire qu'on sache que t'étais démissionnaire et que t'en avais plus rien à secouer de tes gamins. A moins, qu'il y ait une date limite pour pouvoir bénéficier de la protection de son père. Mais t'as rien fait pour nous. T'as laissé le temps couler, pourquoi ? Je massacrerais quiconque touchera à mon fils moi. Même quand il aura quarante balais et moi ... un peu plus ..."

Il n'avait pas vraiment envie de faire des maths à cette heure-ci, même si c'est simple, son fils il avait un peu moins de vingt ans lorsqu'il l'a eu. Faire le compte n'est pas bien dur, mais Cal' c'est Cal', on ne le changera pas. Tout d'abord, il avait pourtant voulu se tenir à carreau dans ce bureau, où on l'a forcé à entrer, par l'oreille qui plus est. Mais là, c'était la goutte de potion qui faisait déborder le chaudron. Faut pas déconner non plus, pourquoi leur reprocher de rejoindre le seul qui ait indéniablement voulu bouger son cul, pour changer les choses ? Une victoire, même si infime qu'elle le soit, reste une victoire malgré tout.

"Personne n'a cherché à nous aider, en-dehors de Grindelwald. On est pas con, on sait très bien qu'il saura réclamer qu'on lui renvoie l’ascenseur, mais ça en valait la peine."

Bah oui, il s'agit de son gamin, évidemment que ça en vaut la peine. On parle toujours des mères qui déplaceraient des montagnes pour leurs enfants, mais certains pères savent aussi prendre leur rôle au sérieux. Ils ne sont pas tous des incompétents en la matière. Là, c'est clair que Calvin pense que Severus les a lâchement laissé tomber, par peur des représailles. C'est certain qu'il lui en veut terriblement pour ça. La pilule n'est toujours pas passée. Il lui faisait confiance et il a laissé toute cette merde se produire. Il a laissé leur famille éclater et n'a pas tenté de récupérer les morceaux pour tenter de les recoller ensemble.

"Oh, tu sais quoi. Je regardais mon emploi du temps ce matin et j'ai vu que naturellement, ta matière se trouve être l'une des principales de mon cursus. Compte pas sur moi pour t'appeler 'Monsieur' ou 'Professeur'. J'ai pu onze ans, je suis pu un petit con trop docile. Non maintenant, je suis un grand con qui va bien te casser les couilles à t'appeler 'Papa' devant toutes la promo."

Calvin a longtemps souffert de cette stupide règle imposée par Severus. Il l'avait tellement mal prise que lorsqu'il était petit de première année -et même après-, il pensait que son père avait honte d'eux.

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