Fenrir n’avait jamais été d’un naturel patient. Aussi tapait-il nerveusement du pied en attendant son frère, assis sur les marches du perron d’une maison isolée. Ils s’étaient pourtant donné rendez-vous il y a plus d'une heure, bordel. Ragnar le faisait exprès, ce n’était pas possible. Ou alors peut-être ne pourrait-il pas venir ? Après tout, Fenrir ignorait ce qu’il se passait exactement à Poudlard maintenant. L’école avait été prise d’assaut par Gellert Grindelwald, ancien mage noir que tout le monde croyait mort, et tous les mangemorts présents sur place avaient été chassés ou tués. Fenrir, pour sa part, avait fui au bon moment en compagnie d’Alrik. Il squattait depuis chez Madalina, ce qui lui permettait de se trouver en territoire ennemi puisque l’Ecosse était désormais protégée par les Résistants et Dumbledore. Il ne savait pas encore ce qu’il pourrait bien faire mais une chose est sûre, il allait foutre le bordel. Hors de question que ces guignols de Dumbledore, Grindelwald ou encore l’autre con d’anarchiste s’en sortent impunément et prennent la grosse tête alors qu’il était clair qu’un jour ou l’autre, le monde sorcier basculerait entièrement sous le régime de Voldemort. Ce n’était qu’une question de temps, une question de logique. Et ce serait la meilleure façon pour que des gens comme lui, des monstres, des rejetés, puissent vivre enfin en liberté.
La maison perdue au fin fond de l’Ecosse devant laquelle il attendait avait appartenu à deux frères mangemorts que Fenrir avait tué en compagnie de Ragnar deux semaines plus tôt, alors qu’ils cherchaient Gregory qui avait disparu. Deux types qui avaient été proches de Sax, l’abruti que Gregory s’était retrouvé à tuer à Poudlard, et que Fenrir soupçonnait alors d’être coupables de la disparition de son fils. Ils avaient subi un interrogatoire corsé, mais ça n’avait rien donné. Visiblement, ces deux cons n’étaient au courant de rien. Ça aurait pu s’arrêter là, mais l’atmosphère s’était échauffée, les insultes avaient fusé et les coups étaient partis en plus des sortilèges. Facilement irritable, et d’autant plus vu la situation, Fenrir n’avait pas mis longtemps à se déchaîner. Résultat, les deux mangemorts étaient morts et les frères Greyback, eux, s’en étaient sortis presque sans une égratignure.
Fenrir était venu trouver Ragnar pas longtemps après avoir appris la disparition de Gregory. Pour lui demander de l’aide, même si ça lui avait un peu coûté en terme de fierté. Il avait beau dire, il avait confiance en son frère. Ragnar avait cherché de son côté, fait appel à des relations, et Fenrir avait fait la même chose du sien. Puis ils avaient été vérifier chaque piste à deux, ensemble. Plus d’un avait dû être étonné de les voir débarquer l’un à côté de l’autre. Bien sûr, les frères s’étaient pris la tête plus d’une fois durant ce périple. Le sujet le plus épineux avait été probablement celui d’Astrid, lorsque Fenrir s’était mis en tête de l’accuser d’avoir enlevé Gregory pour se venger de la famille Greyback. Ce qui était quand même tiré par les cheveux, mais l’entêté avait quand même tenu à vérifier cette piste, comme toutes les autres.
Malheureusement, ça n’avait rien donné. Et puis soudain, Gregory avait réapparu. Et pas n’importe où : aux côtés de Gellert Grindelwald au moment de la libération de Poudlard. Fenrir avait d’autant plus envie d’étriper ce connard de vieillard aux fausses allures de jeune. Etait-ce lui le responsable de la disparition de Gregory ? Ca n’avait pas l’air de coller, pourtant. Madalina faisait visiblement partie de leur petit club et pourtant elle n’était au courant de rien. Non, il y avait quelque chose derrière tout ça, mais Fenrir ne savait pas quoi. Il n’avait même pas pu voir Gregory depuis pour lui en parler, il n’avait pu que l’apercevoir le jour où il avait fui de Poudlard. Fenrir avait bien songé à lui envoyer un hibou pour trouver un moyen de se voir, même si ce n’était pas son genre d’envoyer du courrier, mais ce serait compliqué car lui ne pourrait pas mettre un pied du côté de Poudlard désormais à moins de se faire tuer. Et puis les élèves ne pouvaient pas sortir comme ça. Alors le mangemort avait plutôt contacté son frère : il était professeur et du côté des « gentils », alors ce serait probablement plus simple pour lui de se déplacer.
Voilà pourquoi Fenrir l’attendait ici ce soir. Le lieu était désert et la maison isolée au bord d’une route qui serpentait en pleine forêt. Le vent s’était levé, amenant avec lui de lourds nuages sombres. Il ne tarderait probablement pas à pleuvoir. Un vrai temps de septembre.
Agacé d’attendre, Fenrir poussa un soupir d’impatience. Au même moment, son frère transplana juste à côté de lui, si près que Fenrir en sursauta de surprise en lâchant un « putain » venu du cœur. Il se rattrapa d’une main en essayant de cacher le fait qu’il avait failli se péter la gueule de la marche par surprise. Autant tenter de rester digne.
« Je te signale que j’attends depuis plus d’une heure. »
Tout en râlant, il se releva. Il n’avouerait jamais que ça le rassurait de voir que son frère avait pu venir. Comme il n’était plus au château, il ne pouvait plus savoir tout ce qui se passait là-bas pour lui ou pour Gregory. Il allait pouvoir en apprendre plus ce soir.
« Bon, tu m’expliques c’est quoi ce bordel ? L’autre taré qui a débarqué à Poudlard en se proclamant roi du monde ou je sais pas quoi ? Et Gregory ? Comment il va ? »
Les premières gouttent se mirent à tomber. Le vent soufflait dans les arbres, dans un son relativement inquiétant. Mais Fenrir ne s’en souciait pas. Il savait que le plus inquiétant ici, dans cette forêt, c’était lui. Et mine de rien, son frère n’était pas mal dans le genre non plus.
Non, il ignorait totalement que cette nuit, les morts allaient se relever.
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Mar 13 Mar - 10:35
PS : j'ai demandé à Calvin, il nous laisse répondre encore une fois chacun, avant de faire intervenir le papa Greyback
Fenrir Greyback
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Mer 14 Mar - 1:12
Wilhelm & Ragnar & Fenrir
Septembre 2000, saison 5 ▽ Among the dead
Fenrir émit un grognement contrarié quand son frère se mit à se foutre de sa gueule au sujet du fait qu’il sache lire l’heure (merci, il n’était pas complètement débile non plus…) et quand il lui demanda de baisser d’un ton. Il était agacé de se faire reprendre comme ça comme un môme, et aussi de se faire appeler « mon p’tit gars », mais il n’empêche qu’il ferma sa gueule. A certains moments, on pouvait clairement voir qui était le grand frère et qui était le petit.
Se faire engueuler, d’accord, mais se faire tapoter le front par le bout du doigt… N’abusons pas. Il n’avait pas cinq ans non plus. Fenrir repoussa la main de son frère d’un geste agacé. Mais ce qui le contrariait le plus, c’était ce que Ragnar disait, car bien sûr, des doutes, il en avait plein la tête depuis un moment. Il n’en avait pas touché un mot à quiconque, ceci dit. Il avait toujours été du genre à garder les choses pour lui et à ne jamais s’exprimer sur ce genre de pensées, ni même à se confier sur quoi que ce soit à qui que ce soit. Il n’y avait qu’avec Madalina qu’il avait commencé à travailler sur ça, et aussi Gregory même s’ils avaient parfois plus de mal à se comprendre car le garçon devait tenir de lui. Mais ce qui l’agaçait aussi, c’était cette façon qu’ils avaient tous de penser être totalement en sécurité auprès d’un cinglé comme Gellert Grindelwald. Ils oubliaient que ce type était un putain de mage noir, comme ce Seigneur des Ténèbres qu’ils abhorraient tant ? Leurs méthodes et leurs objectifs différaient peut-être, mais dans le fond, personne de sain d’esprit ne pouvait considérer Grindelwald comme le sauveur de l’humanité. Aux dernières nouvelles, il voulait dominer le monde moldu « pour le plus grand bien » donc, hein… Qu’on ne vienne pas lui dire que Gregory était totalement en sécurité auprès d’un type d’au moins 150 ans (bon d’accord, 117) au cerveau très probablement disjoncté. Peut-être qu’il se trompait, et qu’il avait seulement de gros aprioris à son sujet, mais Fenrir ne faisait aucunement confiance à Grindelwald.
Il préféra cependant ne pas répondre. Ragnar descendit les marches du perron pour rejoindre la route et lui demanda s’il comptait bouger oui lui casser les couilles toute la soirée. Tout en lui emboîtant le pas, Fenrir grommela dans sa barbe :
« C’est une option que j’envisage très sérieusement… »
Non parce que jusque-là, celui qui remportait la palme du plus gros casse-couilles, c’était clairement Ragnar. Lui n’avait même pas eu le temps d’en caser une, limite. Il comptait bien se rattraper.
Alors qu’ils se mettaient à marcher en direction de la forêt plongée dans l’obscurité, Ragnar lui apprit que Gregory allait très bien et qu’il comptait se battre contre les mangemorts. Fenrir ne tiqua pas, il n’était pas étonné de cela connaissant son fils. Mais ce qui l’agaçait, c’était de ne pas savoir ce qu’il s’était passé lorsqu’il avait disparu pendant plusieurs jours. Est-ce que Ragnar savait quelque chose à ce sujet ? Son frère voulut lui poser la question, mais Ragnar enchaîna sur une sacré révélation qui fit hausser les sourcils de surprise à Fenrir.
« Sérieux ? »
Ragnar balançait ça de façon si abrupte qu’il pouvait tout aussi bien avouer qu’il plaisantait. Mais non, il n’en avait pas l’air. Alors il avait un fils, et qui plus est de l’âge de Gregory, à une semaine près ? Le hasard était étrange. Il arrivait finalement la même chose aux deux frères : se découvrir un fils, bien des années après, et le voir débarquer dans leur vie. Ça leur faisait un sacré point commun.
Fenrir ne réagit pas spécialement à la mise en garde, ou plutôt à la menace, de son frère concernant le fait de s’attaquer au garçon. C’est sûr que si Fenrir transformait celui-là, ça ferait clairement un triplé gagnant… Mais non, l’idée ne lui avait même pas traversé l’esprit et ne lui viendrait sûrement pas plus tard non plus. S’il s’était attaqué à Astrid dans le passé, c’est parce qu’il était alors consumé par une rage tellement brute et intense qu’elle lui avait fait commettre les pires atrocités dans une recherche d’extériorisation impossible à atteindre. Si cette rage était toujours présente dans son être, elle s’était calmée avec le temps, ou peut-être avait-elle simplement changé de forme. Alors certes, Fenrir avait aussi mordu Sidney, mais c’était durant la Nuit Rouge et à l’époque, il ignorait totalement que son frère allait décider d’adopter une gamine orpheline. Donc techniquement, il ne s’était attaqué qu’à un seul enfant sur les trois non ? Mouais… Putain, trois maintenant, sérieusement. Ca commençait à devenir violent. Fenrir ne résista pas à l’envie de se foutre de sa gueule :
« Si tu continues à adopter ou à te reproduire à tout va, tu vas finir par devoir acheter un bus pour te déplacer avec toute ta marmaille. »
Il ricana, parce qu’il trouvait sa blague drôle alors qu’elle n’avait rien de spécialement drôle, puis redevint pensif. Alors comme ça, il avait un neveu. Un vrai, de sang. Une réflexion lui traversa l’esprit.
« J’adore parce que tu me parles de famille mais tu te retrouves avec un gosse que, visiblement, tu n’as pas fait à ta femme… »
Quelque chose lui disait que la blonde hystérique qui servait de femme à son frère n’avait pas du digérer la nouvelle, du moins si elle était au courant. Ou bien ça exploserait lorsqu’elle l’apprendrait. Parce que faire un enfant à une autre, c’est quelque chose d’impardonnable. Surtout s’ils étaient ensemble à l’époque et que du coup, Ragnar l’avait trompée. Comme quoi, il n’était peut-être pas un grand frère si modèle que ça…
« C’est marrant, je ne t’imaginais pas de ce genre. Elle est au courant ou pas ? »
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Mer 14 Mar - 10:16
Fenrir Greyback
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Fenrir Greyback
Jeu 15 Mar - 1:53
Wilhelm & Ragnar & Fenrir
Septembre 2000, saison 5 ▽ Among the dead
Bon d’accord, c’est vrai qu’il y avait Alrik… A eux deux, en combinant les gosses de sang et les gosses de cœur, ils auraient vraiment bien besoin d’un bus. Fenrir s’imagina une seconde dans une espèce de magicobus en compagnie de Ragnar, Gregory, Alrik, Astrid, Sidney et le dernier en date dont il ne connaissait pas le prénom, et il se dit que ce serait sûrement du grand n’importe quoi. Il ne manquerait plus que Madalina et Shaylee dans ce bus pour que ça vire en guerre mondiale. C’est clair que les histoires avec tout ce petit monde n’étaient pas simples.
En posant une question à Ragnar au sujet de Shaylee et de ce fils dont il venait d’apprendre l’existence, Fenrir ne s’était pas attendu à ce que son frère se confie autant. Du moins, avec tant de détails. Il était un peu surpris, il faut dire qu’il n’en avait pas l’habitude. Après tout, leur relation de frères n’était pas la plus simple du monde non plus. Mais il ne dit rien et se contenta d’écouter avec attention, alors qu’ils marchaient le long de cette route obscure. Il visualisa son frère dans cette vie qu’il n’avait pas connu, grand chef d’entreprise au sommet d’un immeuble dont le mariage battait de l’aile depuis ce qui était arrivé à Astrid. Aurait-il agit de la même façon à sa place ? Fenrir l’ignorait. Il ne s’était jamais imaginé vivre une autre vie que la sienne, totalement en décalage avec le reste de la société. Il ne pouvait pas s’imaginer chef d’entreprise ni même marié. Mais sa nature de loup-garou lui avait toujours donné une certaine vision de la fidélité. Il n’éprouvait pas l’envie de juger son frère, ceci dit. Enfin si, quand même un peu, mais ce n’est pas comme s’il appréciait des masses Shaylee alors au pire…
Ce qui l’étonnait plus, c’était cette façon que Ragnar avait de dire qu’il n’en avait rien à foutre du reste, hormis ce fils qu’il venait de découvrir et aussi la gamine qu’il avait décidé de prendre sous son aile. Il était remonté à ce point contre Shaylee et contre Astrid ? Il semblerait. Ou alors c’est juste qu’il jouait au connard insensible, mais quelque chose lui disait qu’il y avait une véritable et profonde rancœur là-dessous. Et après on disait que c’était Fenrir le plus difficile des deux frères…
La conversation revint sur Gregory, et Fenrir faillit interrompre son frère lorsqu’il mentionna une petite-amie – comment ça, une petite amie ?! Une vraie ? Puis il se souvint de cette petite blonde qu’il avait eu l’occasion de voir traîner non loin de son fils, lorsqu’il était à Poudlard, et il se dit que ça devait sûrement être elle. Comment elle s’appelait déjà ? Ravin ? Drôle de prénom. Ses parents ne devaient pas beaucoup l’aimer à la naissance. Ainsi donc, Gregory se tapait une fille. Très bien pour lui. Ils avaient ce point commun d’aimer les blondes, visiblement.
Après, le fait que Gregory ne soit pas très causant n’était pas étonnant. Il avait tendance à cacher des choses et à se foutre dans la merde, ce gamin. Il était indépendant, aussi, de caractère et dans sa façon de vivre. Donc non, ce n’était pas étonnant. Ce que Fenrir ne comprit pas et lui fit froncer les sourcils, c’est le fait que Ragnar dise que Gregory ait peur de sa réaction pour leur prochain face à face : pourquoi ? Bon d’accord, il lui avait pété la gueule à leur toute première rencontre, mais ça c’est parce qu’il ignorait alors que c’était son fils. Il ne risquait plus de recommencer. Et si c’était un peu parti en vrille à son anniversaire en août, c’était uniquement parce que Madalina avait décidé de jouer un petit numéro en espérant éloigner Fenrir de sa vie pour qu’il ignore tout de la Dragoncelle. Ce qui n’avait pas marché, soit dit en passant. Mais bon ça, justement, Gregory l’ignorait encore. Il avait quelques petites choses à apprendre. Fenrir devait vraiment trouver un moyen de le voir.
Ragnar, lui, de toute évidence, en avait déjà marre de leur petite balade en forêt. Fenrir s’agaça :
« Putain mais t’es casse-couilles. Ca fait à peine cinq minutes que t’es là et tu te plains déjà du froid et de la flotte. Excuse-nous, monsieur je vis dans une tour d’ivoire et je m’envoie des secrétaires. »
Non mais franchement. Que personne ne vienne plus jamais dire qu’il était le plus casse-couilles des Greyback, parce que clairement, Ragnar remportait la palme d’or. Déjà qu’il l’avait fait attendre une heure, mais en plus il voulait se barrer au bout de cinq minutes. Un vrai connard. Mais puisqu’il parlait de faire passer un message à Gregory, Fenrir allait demander mieux.
« Arrange un coup pour qu’on puisse se voir, Gregory et moi ? Non parce que j’imagine que si je me pointe au château, je me fais défoncer la gueule. Mais puisque tu es chez les Dissidents, tu devrais pouvoir arranger quelque chose. Pas vrai ? »
Il le regarda d’un air entendu. Il ne doutait pas une seconde que Ragnar puisse arranger quelque chose du genre, puisqu’il était du côté de ceux qui tiraient les ficelles pour le moment du côté de Poudlard. Il pouvait peut-être faire en sorte que Gregory sorte du château et aille traîner dans les alentours. Quelque chose du genre. Il ferait bien ça pour son frère. Non ? Notons aussi que Fenrir a l’art et la manière de demander ça à son frère sans prononcer un seul « s’il-te-plaît » ou autre forme de politesse.
Il glissa distraitement les mains dans les poches de sa vieille veste en cuir et se fit pensif. Sans transition, il revint sur l’un des propos tenus par Ragnar précédemment, comme s’il ne pouvait s’empêcher de se poser la question ou d’avoir un doute :
« T’en as vraiment rien à foutre de tout le reste ? »