Âge : 25 ans
Date de naissance : 21 avril
Etudes : à Poudlard, durant sept longues années d'études. Je n'ai jamais du recommencer un année.
Profession : Je suis directeur de la maison de Serdaigle et professeur d'astronomie.
Baguette : Bois d'if, 33.75 cm, contenant une unique plume de phénix
Patronus : Un cerf. Depuis de longues générations, les femmes de la famille transmettaient le patronus à leurs filles. Les hommes eux avaient un lapin en tant que patronus. Lorsque ma maman mettait au monde, un petit bout de 32 cm, moi, aucune sœur ne me précédait. Lorsque j’avais à peu près 15 ans, je découvrais que j’héritais du cerf comme patronus. J’étais en effet le premier homme à l’avoir.
Epouvantard : Mon épouventard est Lord Voldomort. Cela paraît bizarre, mais il a changé ma vie. Lorsque j’étais petit, je l'ai vu de mes propres yeux lors d'un massacre

Nationalité et origines :Je suis née d’un père Mexicain. Qui sa famille était aussi purement Mexicaine. Ma mère est anglaise, tous comme le reste de sa famille.

Votre sang : Actuellement, du sang-mêlé coule dans mes vaines. Je le dois à mon moldu de père. Toute la famille de mon père était moldu. Du côté de ma mère ce sont tous des sang-pur depuis la nuit des temps.

Particularités : Je suis legilimens, je sais lire dans votre esprit, un pouvoir que peu de sorciers ont. Pour cela j’ai suivi plusieurs cursus et entrainement avant de le maîtriser comme je le maitrise maintenant.

Passions et loisirs : Mes passions sont la magie, l’astronomie, et le quidditch. La magie et l’astronomie sont des passions qui sont dans la famille. Nous sommes tous passionnés d’astres, planètes et les autres choses qui nous entourent.

Je suis presque l'homme parfait, sans être modeste. Une peau légèrement brune et douce comme des fesses de bébé, que demander de mieux en tant qu'homme . Sur cette magnifique peau se trouvent deux beaux yeux bleu clair de couleur océan. Avec des cheveux bruns et très fins. De taille pas très grande comparée aux autres hommes, je mesure un mètre soixante-huit et pèse septante-cinq kilos. Après, quand on voit le chef-d'oeuvre, normal. Assez bien foutu comme disent certaines femmes, il est assez bien musclé, pas de trop, juste ce qu'il faut. Une petite odeur de parfum acheté à Londres se dégage lorsque je passe, les filles en raffolent. Avec une petite taille, faut bien un petit pied, non ? Pas plus que n 40, souvent les gens me disent que mon pied rentre deux fois dans le leur, mais et alors . Qui s'en fout ? Tout ce qui est petit et ce qui est grand est con. Enfin à ce qu'on m'a toujours dit. Ce que je préfère chez moi est mon nez et ma bouche, mon nez ne prend presque pas de place et est un petit peu pointu et ma bouche... Non pas parce que je peux galocher avec ma j'aime sa forme, parfaire, petite et s'ouvre quand il le faut. Souvent vêtus assez classent, je me sens très à l’aise dans un smoking de couleur noire de préférence. Bien que le bleu foncé m'aille aussi. Souvent appeler ‘fils à papa’ car je suis habillé très chique. Les jeans ? N’en parlons pas, je ne supporte pas cette matière, c’est immonde ! Ce genre de vêtements est très apprécié surtout lors d’un entretien d’embauche, mais peut être très utile auprès des femmes qui aiment un homme ayant la classe et non un homme cool. Sans parler de ma petite pousse de barbe, pas trop grande pour ne pas faire caïd, mais petite pour faire propre.

Restons honnête, je suis un peu prétentieux. Enfin plus qu'un peu. J'ai horreur de me salir les mains et les vêtements encore pires. Malgré mon côté très séducteur, je respecte énormément les femmes. Toujours en gentleman, je les aide, offres des fleurs et le reste qui va avec. Toujours très classe, habillé très souvent en smoking et très bien élever j'adore ennuyer mes collègues, amis et ma famille. Ce que je faisais à Poudlard aussi d'ailleurs. Très fêtard, j'adore profiter le plus que possible en sortant, draguant tous ce qui bouge parce que je sais que plus tard cela sera impossible. À moins que je le fasse encore avec ma canne . Ma place est au sommet, enfin ce que je pense. Je n'aime pas être le second choix, ni l'adjoint. J'aime être un leader et je l'ai bien montré durant ma scolarité à Poudlard. Lorsqu'il y a un truc assez dégoutant à faire, ne pas compter sur moi pour me dévouer, je trouverais par tous les moyens une excuse de ne pas devoir le faire. Sans parler de ma phobie des insectes, j'en ai horreur. Rien qu'à les voir, je dois en vomir. Au point de presque tomber dans les pommes. Je suis très jeune encore et très ambitieux. J'aimerais réussir ma vie. Pas la ratée comme un peu à Poudlard, là où je ne faisais rien et m'en sortais avec beaucoup de chance. Je sais ce que je veux malgré tout. Souvent les gens pensent que je suis mauvais comme homme, que j'ai l'air d'un mage noir et plein d'autres choses. Mais pas du tout le cas. Je suis très sympathique, respectueux et j'ai mes principes. Mon plus grand défaut peut-être… Être rancunier .

Animal de compagnie : Lorsque j’étais à Poudlard, ma maman m’a offert un hibou du nom de Ludwige. Il est décédé à l’âge de 4 ans. Lors d’une sortie, une bagarre de hibou éclatait et il y laissait la vie. L’autre était habitué, Ludwige non... J’en étais mal, mon meilleur ami m’en offrait un nouveau pour mon anniversaire que je ne voulais pas au début. Avec le temps, il devenait de plus en plus important pour moi.

Profession et motivation : Depuis ma scolarité et encore après, je suis passionné d’astronomie. J’adore tout ce qui se trouve là-haut. J’ai décidé de devenir enseignant à Poudlard où je rentrais mon CV sur un bout de parchemin afin de devenir directeur de la maison de Rowena Serdaigle, là où j’ai fait mes études ainsi que professeur d’astronomie.

En profondeur :Actuellement je vis dans un petit appartement à Londres. Un appartement tout confort, ce que je cherchais. Près de mon domicile se trouvent les magasins les plus chers de Londres, mes préférés d’ailleurs. Seul bémol, mes voisins qui sont des moldu insupportables qui se disputent à longueurs de journée. À la fin cela deviant chiant. Entre-temps, je recherchais déjà un nouvel appartement vers préau-lard. Une vie très active, est mon quotidien. Entre le travaille, le sport et la drague, c’est compliqué !

Votre position face à notre intrigue générale : Je ne prends partie pour aucun camp. Je vie la vie au jour le jour sans prendre en comptes des avis des camps qui s’opposent l’uns à l’autre.

Et si on se projetait dans l'avenir ? Déjà, je compte me chercher une femme sérieuse pour débuter une vie sérieuse avec elle. Ensuite, oui, je compte avoir des enfants, pas plus que deux. Mais seulement avec une femme sérieuse.
Ensuite, pourquoi ne pas acheter une petite maison à Londres ou à Pré-Au-lard afin de nous y installer. Que le monde soit sur ou pas, peu importe, il ne faut pas céder à la panique. Question de travail, je ne compte pas changer, tant que je peux préserver le mien que j’adore.

Étant petit, ma famille n’a jamais eu besoin de se soucier de l’argent. En effet, on vivait bien chez les McKenzie. Depuis des générations, notre famille tien un lieu que les moldus adorent. Cela s’appelle un bowling. Ils adorent pratiquer ce sport de précision et venir boire un bon coup. Le but du bowling ? Faire tomber le plus de cônes que possible afin de rassembler un maximum de points et gagner la partie. Grâce à ça, les McKenzie vivent depuis longtemps sur le dos des gens qui viennent jouer, consommer et même des fois manger un bon petit repas très simple. En 1967 fût battu le premier logement des McKenzie dans le cœur de Manchester et les constructions immobilières se dissipaient à une allure très rapide un peu partout dans le monde. Le logement familial à Londres est le logement qui est donné de génération en génération depuis des années. Appartenant à mon arrière-grand-père du côté de ma mère, ma mère en héritait un jour jusqu'à ce que je reprend le relais.

N’ayant aucun frère ni de sœur, je n’ai jamais vraiment appris à partager mes affaires. Lorsque j’avais un ami, qui habitait tout près de chez moi, après deux jours seulement il se lassait de moi à cause de mon égoïsme permanent. Et puis après tous, c’est normal non . C’est à moi et pas un autre. Le seul point où je n’étais pas égoïste était lorsque je voyais une personne en difficulté, je fonçais pour l’aider. Souvent, étant petit et encore aujourd’hui, j’aime aider les sans-abri qui ont une malchance incroyable. Je forçais ma maman à faire une part de manger de plus et leur donnais afin de les nourrir. Le comble, un jour j’en ai ramené un à la maison, afin de lui donner une douche. Et puis, normale non ? Le sourire d’un homme-femme vaut tout l’or du monde. Soyons généreux, soyons fou !

Privé de mon père, je me réfugiais chez ma mère qui elle jouait le rôle des deux en même temps. Étant de sang-pur et dispose donc de pouvoir magique elle m'enseignait tout ce qu'elle savait dès mon plus jeune âge. Tous ce que je connaissais en arrivant à Poudlard, je le devais à ma maman. Donc la famille McKenzie, est une lignée de sang-purs. Jusqu'à quelques année de là, où les femmes commençaient a fréquenté des moldu.. Au début, nous avions une lignée de sang pure, mais petit à petit nous avons commencé à fréquenter des moldues et avons mélangé nos sangs. De là, que moi je suis également un sang-mêlé. Depuis tout petit, j'habite à Manchester, une petite ville d'Angleterre où j'ai grandi et vécu avec ma mère. Le temps nous fait vieillir et grandir, un jour j'ai décidé tout comme mon cousin d'aller vivre à Londres et déménager. Cela brisait le cœur de ma maman qui en pouvait plus. Avec le temps elle finissait par comprendre.

Bien avant d'entrer à l'école de magie Poudlard, je ne m'y voyais pas, étant donnée qu'aucune lettre arrivais malgré que j'avais déjà 11 ans. Je regardais le Quidditch avec ma mère à la télévision ou au stade des fois. Un beau jour de juin, le soleil était présent et faisait très chaud. Un hibou blanc arrivait devant ma porte en déposant une lettre dans la boîte aux lettres. Je l'apportais à ma maman en croyant que c'était une facture de gaz, eau et elle commençait à pleurer tout en m'annonçant que le bon dieu avait entendu mes prières et que j'étais enfin admis a l'école de magie Poudlard. Je n’en croyais pas mes oreilles, moi à Poudlard? Je rêve? Pincez-moi! Je prenais la lettre et la lisais. En effet j'étais admis à Poudlard!

Enfin, je vais pouvoir quitter cette école moldue pire qu’ennuyeuse. Bien entendu, mon école ne pouvait pas entendre parler de Poudlard, il me prendrait pour un fou. Je terminais le mois dans l’école moldue à Londres et passais mon année avec de bonnes notes. Ma mère était encore plus fière de moi et n’hésitait pas à le communiquer par lettre à mon père qui lui est actuellement en voyage professionnel en Australie. Aucune réponse, bizarre… Mais bon la vie continue. Deux longs mois de vacances méritées étaient finis. Je ne demandais pas mieux. Je voulais déjà y être moi à Poudlard. Ma maman m’emmenait là où tout a commencé. Sur la voie 9 ¾, afin d’embarquer sur ce miteux train appelait le Poudlard-Express. Dans le train, tout le monde se parlait, et parlais de la maison qu’il souhaiterait intégrer. MAGIQUE ! Le train s’arrêtait, tout le monde devait descendre afin de rejoindre les barques et se diriger vers le château. Un après les autres nous passions devant le Choixpeaux Magique qui nous dispersait dans les maisons différentes. Ce fût mon tour, le Choixpeaux n’a pas dû hésiter une seconde. Il m’envoyait à Serdaigle, là ou ma scolarité commençait.

Lorsque j'étais à Poudlard, j'étais très content d'abord d'y enter, mais surtout de pouvoir y étudier. Je n'ai jamais gâché mes chances quoique j'étais le pire cauchemar des autres. Souvent à l'aide de mes camarades, j'allais ennuyer les Poufsouffles et les Gryffondors que je ne supportais pas. Malheureusement ceci m'a coûté une semaine de retenue ainsi qu'une interdiction de sortie durant un mois entier. En cours, j'étais brillant, toujours de bonnes notes. Lors de mes BUSES, j'avais souvent des notes OPTIMALE, certains cours des PIETRE mais jamais en dessous. Mes cours préférés étaient les potions, le vol sur balais et l'astronomie. Souvent, je me voyais comme mes professeurs, devant une salle de classe à enseigner. Souvent, les filles étaient folles de moi, j'avais mon côté charmeur peu importe l'heure ou le jour. J'aimais faire jouer mon physique pour passer du bon temps avec des jolies demoiselles. L'endroit que je fréquentais le plus était la forêt interdite. De temps à autre, j'y allais en douce la nuit, car j'aimais le danger, la peur et surtout faire peur aux autres. J'avais un certain mépris pour les règlements.

Lorsque je fusse enfin diplômé et sortais de Poudlard, je réalisais un de mes rêves les plus chers. Aller retrouver mon père à l'autre bout du monde qui a dû partir pour des raisons professionnelles, enfin à ce qu'il a pu me dire lorsque j'étais petit. Je prenais pour la première fois l'avion direction l'Australie, à Sydney, là où habitait mon père. Les retrouvailles étaient un moment émouvant, je serais pour la seconde fois en 19 ans mon père dans mes bras et entendais sa voix. Une larme est bien entendue tomber sur ma joue, mais des larmes de bonheur. Pendant mes vacances en Australie, je faisais la rencontre d'une Franco-Australienne nommée Stéphanie. Ce fût une romance incroyable... À ce que je croyais. En fait, nous étions loin d'être faits l'un pour l'autre. Les vacances s'achevaient. Je reprenais l'avion pour Londres, afin de rentrer voir ma mère et lui raconter mes incroyables vacances à Sydney. Non seulement je venais de passer trois semaines de rêves, mais que je rentrais à la maison, ma maman m'attendait déjà avec impatiente. Mais notre bonheur fût de courte durée. Vu que je comptais partir à nouveau a l'étranger pour des raisons professionnel.

À l'époque, quand j'étais à Poudlard, je parlais souvent avec l'ancien directeur de Poudlard, plus exactement le professuer Dumbeldore de ce que j'aimerais faire plus tard. Elle était la première à savoir que plus tard j'aimerais travailler pour elle et pour personne d'autre. Je me souviens des mots que je lui ai dit comme si c'était hier... "Je refuserais le plus beau job pour revenir ici, professeur" était les mots que je lui ai dits. Sur ses beaux mots, elle me conseillait de continuer mes études et me donnait quelques adresses d'université spécialisée dans la profession. Sans hésiter je me suis inscrit deux ans à l'université de Rome afin de me perfectionner dans mon domaine et d'autres comme les lois, la légalisation. Peu de temps après avoir vu mon père. Je m'en allais à Rome afin d'aller poursuivre mon rêve et d'étudier.
Deux ans s'écoulaient, deux ans sans voir ma petite famille. Le temps était enfin venu de rentrer à Londres voir ma maman.

À peine attirés, je cherchais ma mère des yeux qui m'attendait impatiemment après tous ce temps d'absence. Au loin, je la voyais. Elle tenait un papier de couleur brunâtre dans les mains. Va-t-elle m'annoncer un départ? Une maladie? Eh beh non! Elle m'attendait avec une bonne nouvelle, avec une lettre de Poudlard. Plus exactement une offre d'emploi. Je prenais aussi vite que possible contacté avec le directeur afin d'en parler. Ensemble nous passons un accord et j'acceptais avec joie le poste de professeur d'astronomie et directeur de la maison Serdaigle

NUIT ROUGE

Durant la nuit rouge, j’étais aussi bel et bien à Poudlard. Une nuit plus que sanglante, horrible à vivre, si pas pire. Lord Voldomort et ses confrères ont détruit tous ce qu’ils pouvaient, château, meubles, dortoirs, et surtout des vies. La protection que Darren avait jeté pour qu’aucun adulte ne puisse rentrer à Poudlard était INDESTRUCTIBLE, même Dumbeldore n’arrivait pas à la briser. À son tour Lord Voldemort essayait, NOOOOON ! Il a réussi ! Tout le monde courait vers les intérieurs du château. Les mangemorts tuaient tous ceux qu’ils pouvaient tandis que les autres défendaient et tuaient les mangemorts. Les ‘Avada Kedavra' sortaient de tous les coins, les crie se faisaient entendre de partout. Tous se mobilisèrent pour vaincre l’attaque. Cette nuit là, je perdais une personne chère à mes yeux. Ma petite copine depuis quelques jours. En effet, je sortais tous de même depuis 3 jours avec cette jolie blonde. Je m’étais promis de la protéger. Mais lorsque les mangemorts nous ont bloqués dans la grande salle, on était voué à mourir. À moins que. NON ! Je sortais mon couteau de poche et le lançais à la gorge d’un et lançais plusieurs sortilèges de mort, torture sur l’autre. Dans notre dos, un autre nous attendait, il me lançait un ‘Incarcerem' et m’attachait au mur. Obligés de voir Éléonore mourir, je ne pouvais regarder ce spectacle. Je le suppliais, lui donnait ma vie en échange de la sienne, sa réponse était négative. Avant de la tuer, il lui lançait un ‘Endoloris' et l’achevait d’un ‘Avada Kedavra' petit à petit elle se vidait de son sang étant donnée qu'elle tombé contre le coin d'une table en marbre de la grande salle. Lorsque ses petits yeux se fermaient, le mangemort me libérais en se moquant et transplannais ailleurs. Je prenais le corps d’Éléonore, et l’emmenais dans un endroit sur.
La bataille prenait fin, les corps se faisaient nombreux, Voldemort et ses troupes repartaient petit à petit, à nous à déplorer les corps, reconstruire les choses démolies. C’était horrible à voir. Mais que va-t-il se passer ? Vont ils attaquer à nouveau . Combien de morts pour la prochaine fois ?


une femme a qui je dois mon avenir, elle qui a eu de si bons échos dans l’ancien directeur, Albus Dumbeldor a accepté que j’intègre le personnel de mon ancienne école, Poudlard. La première fois que je voyais cette femme c’était lors de mon tout premier entretiens d’embauche. Peu avant de commencer mon travail. Un des plus beaux jours de ma vie. Étant conscient de ma situation actuelle, plus précisément ma santé qui n’est pas la plus optimale, je ne sais pas combien de temps je pourrais donner ce fameux cours d’astronomie.


Migraines après migraines, malaise après malaise, rien n’allait plus. Sans parler des saignements de née et vomissement. Les docteurs ? N’en parlons pas. Plutôt mourir que de les enrichir. Un jour par surprise, une amie d’enfance, qui est une simple moldue m’embarquait à bord d’un engin à quatre roues, une voiture, pas mal en tout cas. Elle m’emmenait à l’hôpital. Je me laissais faire, à contre cœur. Après un bon paquet de test, prise de sangs et tous leurs tralalas, je put enfin sortir de cet endroit répugnant que je déteste. Une lettre emballée dans une enveloppe brune arrivait à la maison. Je l’ouvrais et apercevais une évaluation des médecins de l’hôpital universitaire de Londres. Cette lettre m’annonçait tous simplement une tumeur au cerveau qui se répartit à la vitesse grand V. Incurable ! Je ne guérirais plus, étaient les premiers mots qui me sont venu à l’esprit. Je refermais la lettre avec la ferme intention de ne pas retourner à l’hôpital. Je veux mourir à ma façon, ce n’est pas cette tumeur qui va décider de mon avenir. Je recherchais des moyens d’euthanasie, actuellement je n’ai trouvé aucun pays où c’était légal, sauf la Suisse. Bien sûr, personne ne voulait m’y emmener ! Personne ne voulait que je meure ! Pas de problème, je trouverais. Je préfère me suicider que de souffrir de plus en plus et de retarder ma mort de quelques années. Les jours, les semaines avançaient, de plus en plus je souffre. J’avançais sans prendre de médicaments, je continuais à vivre malgré tous !