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Tout est possible quand tu sais qui tu es
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Jeu 22 Fév - 15:09
Tout est possible quand tu sais qui tu es
Albus Dumbledore & Evan Skeeter
Pourquoi s'est-il pris d'une immense envie de suivre l'énième bêtise de Kenneth ? Il se le demande encore, tandis que son Directeur de Maison lui énonce tous les méfaits commis depuis ce début d'année scolaire. Soit, seulement quelques mois. Et la liste est longue. Le parchemin enroulé tombant au sol, doit bien faire la taille du petit Evan, de la tête au pied, si ce n'est plus. C'est dire qu'il a beaucoup de bêtises à son actif. La plupart, pour ne pas dire quasiment toutes, ont été commises en grande collaboration avec son meilleur ami. De son côté, Kenneth doit se faire entreprendre par le Professeur Rogue, ce qui est d'autant plus pire. Tête baissée, Evan ne bronche pas. Il ne relève le nez que lorsque le Professeur de Métamorphose lui annonce que la situation a assez duré. En l'espace de quelques secondes, un tas d'idées traverses l'esprit de l'enfant. Est-ce que son directeur va le foutre à la porte ? Si c'est le cas, comment fera-t-il pour voir son père ? Comment fera-t-il pour se rapprocher de son grand oncle, ainsi que de son arrière-grand-père ? Il allait donc retourner tout droit dans le triste appartement de sa mère, restant la plupart du temps tout seul. Tout ça à cause de quelques sottises ? Il n'irait pas jusqu'à penser sottises sans grande gravité, mais tout de même.

Mais au lieu de lui dire de faire ses bagages et de dégager au plus vite de l'école de sorcellerie, l'homme qui lui fait face, venait de lui annoncer qu'il avait gagné un aller-simple pour le bureau du Grand Directeur. La pression retomba d'un seul coup, même s'il faisait tout pour ne pas se montrer satisfait de la situation. C'était difficile à cacher, puisqu'il a tout fait pour justement attirer l'attention du Professeur Dumbledore.

Le chemin ne fut pas si long que cela au final, même s'il devait se retenir de sourire un minimum, afin que la punition ne change pas en cours de route. L'homme s'arrêta devant la gargouille en pierre, plutôt moche dans son genre, et annonça au petit garçon qu'il devait attendre ici. Le Directeur étant au courant de sa venue, il viendrait le chercher. Puis, le Professeur de Métamorphose repartit. Evan observait la statue de pierre devant lui, en penchant la tête sur le côté. Si le bureau de son oncle se trouve derrière, c'est forcément qu'il y avait un mot de passe pour y accéder.

« Fizwizzbiz, Nid de cafard , Éclair au caramel, Sorbet Citron...hum qu'est-ce que ça peut être...Suçacides. »

La gargouille d'une laideur sans pareille, se mit enfin en action faisant un pas sur le côté. En penchant la tête aperçu le mur qui s'ouvrait laissant apparaître un escalier en colimaçon. Lentement, restant sur ses gardes, le gamin commença à monter. En haut de celui-ci, se trouvait une grosse porte en chêne. Au moment d'attraper le heurtoir en cuivre pour frapper, la porte s'ouvrit toute seule. Il n'y avait personne derrière elle et la curiosité d'Evan, le poussa à entrer. La pièce était circulaire avec beaucoup de fenêtre. Pour l'heure, le soleil étant en train de se coucher, ses rayons rougeâtres éclairaient tout le bureau de sa teinte. Le petit Gryffondor était émerveillé par ce qu'il voyait, notamment les instruments étranges en argent qui faisaient des petits bruits. Beaucoup de portraits se trouvaient sur les murs. La plupart de leurs habitants dormaient à poings fermés. Ils ronflaient même. Le regard du gamin se posa sur quasiment chacun d'entre eux, avant de s'attarder sur le bureau derrière lequel, il n'y avait personne. Le Choixpeau magique était même dans cette pièce et c'est vrai, qu'après la cérémonie de répartition des élèves, Evan s'était demandé où il était rangé. Il continua sa visite, lorgnant pendant un instant sur l'épée de Gryffondor dans la vitrine. Enfin, en finissant de faire un tour sur lui-même, ses yeux ne loupèrent pas le perchoir en or, se trouvant derrière la porte. Toujours en prise à sa curiosité, l'héritier des Dumbledore s'avança vers Fumseck, émerveillé par l'animal.

« Wouah !!! Un Phénix ! »

Il n'eut pas le temps de l'admirer plus longtemps que l'animal s'enflamma, finissant ensuite par se consumer et terminant en un tas de cendres. Écarquillant les yeux, surpris, puis choqué, il entendit un raclement de gorge derrière lui. En se retournant, le Grand Directeur de Poudlard se trouvait là, à quelques mètres et l'air terrorisé du pauvre gosse, en disait long sur ce qu'il venait de se passer.

« J'ai rien fait du tout, c'est pas moi. Il a pris feu... »
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Mar 20 Mar - 13:06





Enfreindre le règlement semblait être une coutume, transmisse de génération en génération. Passer outre les règles en vigueur en était même devenu un sport national, à Poudlard. Chaque élève avait un jour essayé de s'y soustraire, ou s'était retrouvé à écoper d'une punition quelconque. Un fait qui n'avait jamais outré le grand directeur, vu que c'était ça aussi être jeune. Avoir un esprit de rébellion, se laisser tenter par l'interdit, être emplis de fougue, des rêves plein la tête. Pour lui, la sagesse de leur aînée devait les empêcher de commettre les actions les plus graves, mettant leurs sécurités, ou celle des autres, en jeu, mais eux-mêmes ne devaient pas oublier qu'un jour ils avaient été jeunes, à leur place et qu'ils en avaient prit le même plaisir. Albus ne pouvait d'ailleurs que comprendre. S'il avait été un élève excellent, sous tous rapports, cela ne l'avait pas empêché, en quatrième année, de mettre tout bonnement le feu aux rideaux de son lit, tant la couleur criarde des rouges et ors en était arrivé à l'énervé. Heureusement, l'incendie avait été rapidement contenu et nulle n'en avait rien su. Quoi qu'il en soit, l'esprit farceur, mutin, que gardait Dumbledore en dépit de son grand âge, lui permettait, malgré le sérieux de ses responsabilités, de ne pas oublier ce qu'était l'adolescence et cette volonté farouche de profiter de la vie. Raison pour laquelle, il était rarement strict, prompt à donner de nombreuses punitions. Au contraire, avec lui, les entrevues se résumaient essentiellement à une bonne conversation, le tous ponctué de bonbon au citron, dont il était littéralement friand. Puis, il fallait bien avouer qu'il n'était pas en reste sur certains de ses amusements, l'époque des jumeaux Weasley/Rogue avait été faste à regarder.

Cependant, tester les limites, n'était pas la seule raison qui pouvait pousser un étudiant à la bêtise, il y avait une autre possibilité, une possibilité qu'utilisait sans vergogne le jeune Evan Skeeter. Par le biais de ses gaffes, il voulait attirer l'attention sur lui. Évidemment, ce n'était pas celle des autres, ni celle de son directeur de maison, sans doute lassé de devoir retirer des points à Gryffondor, mais la sienne. Il en avait parfaitement conscience. Si le jeune garçon avait réussi, à même pas onze ans, à retrouver son père biologique, issu du très discret Macusa, il n'avait que peu de doute à émettre quant à ses découvertes suivantes. Il avait certainement compris le lien unissant Abraxas à Abelforth et donc par extension à lui. Ils étaient de la même famille et quand vous aviez été pendant des années privées de toutes ces informations, de toutes ses connaissances, vous vouliez évidemment aller à leurs rencontres. Albus avait fait le choix de ne pas s'immiscer dans sa vie, en accord avec son frère, c'était à son humble avis une question de sécurité. Moins on ferait le lien entre eux, plus il aurait de chance que personne ne s'intéresse à une des nombreuses prophéties ornant le département des mystères et qui le concernait. Néanmoins, cette belle décision était devenue impossible. Dumbledore avait rejoint l'école et son petit-neveu et arrière-petit-neveu si trouvaient également. Tous deux ayant évidemment prit le partis d'aller à sa rencontre. Oh il était ravis de cela, à n'en pas douter. Il avait, en plus, la douce pensée qu'en ses murs, Evan était en sécurité. Certes les mages noirs cités seraient présent, mais ils ne pourraient pas l'atteindre, il s'en faisait la promesse. Pas maintenant et surement pas aussi tôt! Quoi qu'il en soit, quand Ardal venu l'informer de la énième bêtise réalisée par le duo Serpentard/Gryffondor, qu'il formait avec Kenneth MacPherson, il n'avait plus d'autre choix, l'heure n'était plus au report de la discussion.

Avec un léger sourire aux lèvres, il lui avait demandé de le conduire à son bureau, précisant qu'il viendrait, lui-même, l'y chercher à l'entrée, en début de soirée. Eh comme la demande lui laissait encore quelques minutes, le mage avait grimpé les escaliers de son bureau, se rendant dans une des pièces attenantes, mais du bruit à l'étage inférieur finit par attirer son attention. Silencieux, il avait tendu l'oreille. Évidemment une multitude de son s'échappait de manière continuel de son bureau, que se soit des objets, de Fumseck, ou encore des portraits, mais il discerna parfaitement bien une voix plus enfantine, s'extasier sur le phénix. Comment était-il entré ? Ardal avait le mot de passe, certes, mais il lui avait bien demander d'attendre. Intrigué et nullement vexé, il n'y avait rien d'irréparable dans son bureau, il descendit les escaliers pour aller à sa rencontre, alors que la lumière rougeoyante du coucher de soleil, illuminait la pièce, la rendant plus impressionnante encore. Tout à fait calme, Albus eut un léger raclement de gorge, question de s'annoncer en douceur et de ne pas faire sursauter le jeune garçon. Mais visiblement, c'était raté, vu que celui-ci se tournait déjà vers lui, l'air complètement paniqué, voir terrorisé, lui annonçant qu'il était entièrement innocent par rapport à ce qui s'était passé sous ses yeux. Penchant la tête en avant, il regarda par-dessus ses lunettes argentées, en direction du perchoir de Fumseck, vide. Il comprit alors ce qui venait de se passer, surtout qu'un petit tas de cendre s'étaient formées à sa base. Absolument pas en colère, après tout il n'y pas de raison, il descendit les dernières marches, avant de reprendre la parole pour le rassurer.

-Ce n'est rien, le moment était venu. Il n'était pas bien ces derniers temps, c'est dommage que tu l'ailles vu le jour de sa combustion. Lentement, le directeur vêtu d'une robe rouge, s'avança dans la pièce. Son regard se posa tendrement vers Evan. S'il lui semblait l'avoir entendu dire que c'était un phénix, il n'avait pas l'air, au vu de son regard paniqué d'en comprendre tout le sens. Il décida alors d'être plus précis, lui ôtant le poids de la culpabilité. Fumseck est un phénix, Evan, comme tu l'as très justement remarqué et les phénix s'enflamment quand l'heure est venu pour eux de mourir... Après quoi il renaisse de leurs cendres. Il avait contourné le petit garçon encore tout effrayé pour l'insister à s'approcher à nouveau du perchoir, doré. Albus tendit la main en avant, dégageant très lentement la première couche de cendres, avant que celle-ci ne se mette à bouger toute seule. Rapidement, la tête d'un oisillon émergea. Noir, couvert de poussière, il étira ses petites ailes en ballottant la tête, avant d'émettre un léger hululement. Ravis de te revoir mon ami. L'oiseau comme s'il avait compris ces paroles, poussa un autre cri avant de sortir complètement de son tas de cendre. Les yeux pétillants de malice, il croisa le regard du première année. Les phénix sont des créatures fascinantes et j'ai entendu dire que tu appréciais énormément les animaux magiques, je me trompe?

Ohh il y avait quelqu'un d'autres dans les rangs des professeurs qui en avait une passion dévorante et c'était Rolf Dragonneau. Signalait-il qu'il avait eu vent de la donation d'un tout jeune oiseau-tonnerre, peut-être ou peut-être signalait-il simplement la connaissance de son excellent travail dans ce domaine. Quoi qu'il en soit, si son arrière-petit-neveu s'attendait à être reçu sévèrement, il avait à présent toutes les preuves du contraire. Le directeur était toujours souriant et lançait une conversation tout à fait anonyme sur la diversité de la faune mondiale. Amusé, il n'oubliait pourtant pas la raison sous-jacente de sa visite, mais il avait la vague impression que le petit bonhomme n'allait pas tarder à sauter sur l'occasion, sans doute trop content d'être parvenu à son but. Bon joueur, il ne voulait pas lui ôter ce plaisir, même si la surprise n'allait pas en être une. Il le laissa observer Fumseck en silence, alors qu'il reculait un peu plus dans son bureau, près des portraits de tous les anciens directeurs, qui somnolaient dans leurs cadres.

-Dois-je comprendre que Suçacide était trop évident ?

Aucune vexation là-dedans, il semblait, au contraire, ravis, littéralement amusé, comme si rien n'aurait pu lui faire plus plaisir. Il avait beau ne pas être à proprement parler de sa descendance, il ne pouvait pas nier que sur certains points, ils se ressemblaient étrangement.


Tout est possible quand tu sais qui tu es

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Mar 12 Juin - 8:51
Tout est possible quand tu sais qui tu es
Albus Dumbledore & Evan Skeeter
La vie d'Evan n'était plus la même depuis son arrivée à Poudlard. C'est vrai que tous les élèves disent souvent la même chose, mais lui, ça n'a rien à voir avec les cours qu'il a suivi. C'est un tout. Il a enfin trouvé un meilleur ami doublé d'un confident et même d'un frère de cœur en la personne de Kenneth, bien que leurs maisons soient constamment en rivalité. Il a aussi fait la rencontre officielle de son père, pouvant maintenant apprendre à réellement le connaître. Mais pas que, à présent, Albus Dumbledore est de retour aux commandes de l'école. Et cet homme n'est pas moins que l'arrière-grand-oncle du petit garçon. En somme, ils sont de la même famille. Lui qui n'a connu qu'une mère trop occupée, pour avoir du temps à lui consacrer, maintenant, il pouvait compter sur d'autres personnes. Pour rien au monde, il ne changerait ça. Mais il fallait que les autres soient au courant de ce lien. Pas l'école entière, mais au moins les principaux concernés. Puis de toute façon, les nouvelles vont tellement vite à Poudlard, que quoiqu'ils fassent, sûrement que rien n'empêchera cette vérité de se répandre comme une traînée de poudre, ou comme la fumée émanant du chaudron du professeur de potions.

Sans rencontrer la moindre difficulté, le petit bonhomme était arrivé dans le bureau du grand Directeur de l'école. Dumbledore avec ses faux airs de Merlin l'enchanteur était un mage intimidant. Non pas qu'il soit cruel, loin de là, mais plutôt très puissant. Et il cache souvent bien son jeu. On le croit fou ou sénile, mais il a toute sa tête et également toute sa puissance. Evan l'a déjà remarqué en croisant son regard. Ce n'est sûrement pas celui du papy gâteau que tout le monde s'imagine, il y a autre chose. Il joue un rôle qui semble lui aller à merveille. Mais maintenant, le fils de l'entraîneur de Quidditch devait répondre de ses actes. Aussi, il n'avait pas prévu de voir la fin de vie tragique du phénix de son Directeur. Paniqué, il finit par s'apaiser lorsque Albus lui expliqua les choses. Appréciant grandement les animaux magiques, il en a lui-même un en sa possession, lui venant de son Professeur de soins aux créatures magiques. C'est un animal interdit à détenir, mais Evan a promis à Dragonneau de ne le dire à personne. Du moment, qu'il en prend soin et qu'il se montre correct avec l'animal, il n'y a pas de soucis à se faire.

Enfin, lorsque le Professeur Dumbledore reprit la parole, à propos du mot de passe de son bureau, un sourire étira les lèvres du garçonnet qui se trouvait devant lui. Comment avait-il su pour le mot de passe ? C'est très simple, du sang de Dumbledore coule dans ses veines, il ne fallait pas chercher bien loin.

« Pour un amateur de confiseries, c'était d'une facilité enfantine, surtout quand on connaît un minimum votre réputation. »

Souvent, les gamins de cette école arrivent sans réellement connaître le Directeur. Ils en savent ce que leurs parents en ont dit, mais rien de plus. C'est rare qu'ils prennent la peine de faire des recherches et pourtant, ils ne savent pas ce qu'ils ratent en ne prenant pas quelques minutes pour le faire. Mais Evan n'était pas là pour parler de sucreries. Il devait faire face à sa dernière bêtise en date.

« Si j'avais voulu ne pas me faire prendre, j'y serai arrivé Professeur. J'ai fait exprès de laisser carte blanche à Kenneth, quand on sait qu'il est aussi discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine, c'était certain que quelqu'un arriverait. Mais le pauvre, par ma faute, il doit être en train de se faire incendier par le Professeur Rogue. »

C'est vrai qu'Evan aurait eu la possibilité de le stopper dans sa bêtise, mais il ne l'a pas fait de son bon vouloir. Il voulait être attrapé et justement que son Directeur de Maison en ait assez de lui, au point de demander au Directeur de l'école de gérer l'incident et l'éventuelle sanction. Baissant un moment les yeux, il lui fallait ne pas faire de gaffes en reprenant la parole.

« Ce n'était pas contre l'école, ni contre mon Directeur de Maison, encore moins contre vous, Professeur. Je cherchais seulement à attirer votre attention, parce qu'on est de la même famille. Et avant Poudlard, je n'avais pas de famille. Tant pis, vous pouvez me punir pour marquer le coup, ce n'est pas grave, ça en valait la peine. »

Le but est atteint pour lui, il n'a donc plus qu'à en accepter la sentence, en partie, parce qu'il sait très bien faire sa petite bouille de gamin tout triste, pour amadouer son monde. Même s'il n'y a que trop peu de chances que ça fonctionne avec Dumbledore, qui doit maintenant connaître le fonctionnement des gosses sur le bout des doigts, depuis le temps qu'il dirige cette école et tente d'en garder le contrôle sur ses élèves.

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